Des oiseaux, en veux-tu, en voilà ! (7)

Dernier épisode de ma petite aventure hivernale avec mes amis les zoziaux. Avant-hier matin, une quinzième espèce, un gros-bec, est venue se poser sur ma main. La scène a duré cinq minutes, me laissant largement le temps d’admirer la beauté du plumage, à une trentaine de centimètres seulement des yeux. Hier matin, il est revenu une seconde fois.
L’hiver se termine, j’arrête le nourrissage hivernal des oiseaux à la fin mars. Je ne pense pas qu’une nouvelle espèce vienne d’ici là. Tant pis, ce sera pour l’hiver prochain.

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4 réflexions au sujet de “Des oiseaux, en veux-tu, en voilà ! (7)”

  1. Le réchauffement relatif des journées de mars m’ont décidé à stopper le nourrissage. Au début les mésanges, décontenancées, sont venues constater que le restaurant avait fermé ses portes ! et ont repris leurs habitudes d’autonomie alimentaire.
    J’ai posé trois nichoirs à mésange ; sur mon cerisier, à peine avais-je fixé la boîte, l’échelle était encore contre le tronc, que deux mésanges bleues sont venues jauger l’abri ! Et depuis c’est le calme ! Mais j’ai l’impression que la bande de chats (hyper gavés de whiskas par ailleurs) qui rôdent autour de la maison, y est pour quelque chose.
    Ma question est donc : QUE FAUT-IL FAIRE POUR ELOIGNER LES CHATS ? J’ai déjà mis plein de fil de fer le long du tronc, mais parfois ça n’est pas suffisant.
    Faut-il que j’achète une arme à feu ??? Ou que je mette des pièges ???
    ……… Je blague, évidemment (dans un blog ça s’impose !)

  2. OUVRONS NOS OREILLES, LES AMIS !!!
    Le Pouillot véloce, le rouge-queue noir, la fauvette à tête noire ajoutent leurs mélodies à celles de la grive musicienne, du merle noir, du grimpereau, du pinson, du rouge-gorge, du pigeon ramier, du troglodyte et de l’accenteur mouchet…
    C’est un vrai bonheur de réviser sa mémoire auditive… et de la faire partager avec ceux qui ont envie de mettre-un-nom-sur-un-chant…..
    BONNE ECOUTE A TOUS !

  3. Oui, les oiseaux s’en donnent effectivement à coeur joie ces jours-ci. Enfin, depuis une dizaine de jours plutôt. Le radoucissement en est probablement la cause. J’ai déjà remarqué que les oiseaux chantent plus facilement par temps humide que par temps sec, c’est particulièrement flagrant chez la grive musicienne, et ça s’est encore confirmé cette fois. Les oiseaux se sont mis à beaucoup chanter au moment où l’herbe a reverdi. Il y a quelques oiseaux que j’entends beaucoup plus que les autres années (l’accenteur) et d’autres beaucoup moins (les mésanges), certains ont-ils mieux passé l’hiver que d’autres ?

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