J’ai quelques articles écrits d’avance et ne savais lequel mettre en ligne ce soir. Et finalement, quoi de mieux pour un week-end de Pâques que de parler d’oeufs et de poules. Il y a longtemps en effet que je ne vous ai pas parlé de mes poules.
Poules
Nos amies à plumes
Faire-part
La famille Dupdup s’est agrandie du côté du poulailler. Elle a le plaisir de vous annoncer la naissance du petit dernier : Calimero.
Germaine (la maman) et Sidonie (la deuxième maman adoptive) ont décidé d’un commun accord de ne pas associer le coq géniteur au présent faire-part. En effet, Monsieur Alphonse s’est dépêché de délaisser sa nouvelle progéniture pour aller folâtrer avec Gertrude, Aglaé, Charlotte et Honorine.
Pâques tous les jours !
Quand j’étais gamin, le jour de Pâques était un moment particulier et plutôt heureux. Nous allions chercher les oeufs en chocolat éparpillés dans le jardin. On les trouvait dans l’herbe, sous un buisson, derrière une pierre et c’était un vrai plaisir que de les rechercher.
Aujourd’hui, alors que j’ai fait le choix de laisser mes poules aller là où elles le veulent (sur un espace d’environ 2 000 m2) et que je n’ai pas réussi à les éduquer à pondre là où je le veux, je suis dans l’obligation tous les soirs d’arpenter mon terrain pour y récolter les oeufs. Je les trouve alors (quand je les trouve !) dans l’herbe ou sous un buisson ou derrière une pierre.
Et comme en vieillissant on finit pas devenir un peu philosophe et par prendre (presque) tout par le bon côté des choses, on positive. Alors on se dit que finalement c’est Pâques tous les jours. Elle est pas belle la vie ?
Mon poulailler
Voilà, j’en rêvais depuis longtemps, c’est maintenant chose faite : j’ai enfin mon poulailler !
Je vous ai déjà parlé la
L’Alphonse et son harem
On se retrouve après deux mois de vacances sur le blog.
Vacances pas pour tout le monde ! Car les discussions ont continué malgré la pause estivale. Le 50 000ème commentaire a d’ailleurs été posté il y a une dizaine de jours.
50 000 ! Ce que vous pouvez être bavards tout de même ! De vraies poules qui passent leur temps à caqueter !
A propos de poules, je vais vous présenter les nôtres. Elles sont là depuis tout juste un mois (4 semaines aujourd’hui) et se sont évidemment bien acclimatées au climat franc-comtois, l’un des plus cléments de la planète (si si ! … cela dit, j’imagine une fois de plus vos sourires narquois à cette affirmation gratuite qui n’engage que moi).
Les six poules et le coq font toutes partie de la race « wyandotte » dont le nom vient d’une tribu indienne (le peuple Huron qui occupait l’actuel Oklahoma et une partie du Québec avait aussi pour nom Wyandot, Wyandotte, Wyandat ou Wendat et leur langue s’appelait le wyandot). Cette race existe en 19 coloris différents (les poules, pas les Indiens … quoique avec leurs plumes de couleur !), peut-être même un peu plus. Pour moi qui suis un amoureux inconditionnel de la diversité, avoir choisi une race unique mais dans plusieurs coloris est un bon compromis entre l’envie de n’élever qu’une seule race (pour des raisons de facilité d’élevage) et l’envie d’avoir un maximum de diversité au poulailler.
Chacune des poules présente donc
Mon poulailler de rêve
Comme je l’ai déjà dit dans un précédent article, je rêve d’avoir un poulailler. Mais mon projet n’est pas encore assez mûr et j’hésite encore entre plusieurs lieux et plusieurs types d’installations.
En attendant, j’observe beaucoup autour de moi. Et lorsque je circule en rase campagne, aucun poulailler, aucune poule, aucun coq n’échappent à mon regard. Ainsi il y a dix jours dans le Puys-de-Dôme, ce magnifique spécimen dont je n’ai pas encore identifié la race …
Livres sur les poules (1)
Les poules, c’est très « tendance ». Il y a depuis cette année des poulaillers vendus en kit dans toutes les jardineries, tous les magasins de bricolage. Même Dupdup s’y met et va se construire un poulailler dans le courant de l’été. Un vrai, de 50 m2, avec possibilité pour les poules d’aller se nourrir à l’extérieur. J’en reparlerai sur ce blog.
Poules en liberté
Quand j’étais gamin, les poules de la ferme n’étaient enfermées que la nuit. Toute la journée, elle étaient en liberté, déambulant dans la rue car nous habitions en plein village. Les rares voitures qui circulaient s’arrêtaient pour les laisser passer. On n’était pas pressé à l’époque.
J’ai toujours aimé la présence des poules en train de vaquer autour des maisons. Nostalgie d’une époque révolue ?
Il y a trois ans, je me rappelle avoir dit à mon frère paysan « Tu ne pourrais pas ouvrir la porte du poulailler la journée ? ». Proposition d’autant plus faisable que la ferme de Claude est à l’écart du village. Il a hésité un peu, craignant sans doute pour les semis du jardin, mais a fini par le faire. Depuis, les poules profitent de leur liberté et j’aime les voir lorsque je passe devant la ferme.
Les poules vont partout : dans les prés, dans le jardin (avec quelques dégâts occasionnés mais finalement assez faibles), au milieu du matériel agricole et même dans l’étable au milieu des veaux et des vaches.
Ce type de scène est devenu rare aujourd’hui. Quel dommage !