35 réflexions au sujet de “Juste pour rire …”

  1. Encore quelque chose qui échappe à la Police !!! :biggrin:
    Elle peut rire la jeune fille !! :blush:

  2. Le petit Nicolas déménage à la campagne et achète un âne à un vieux fermier pour 100 Euros.
    Le fermier doit livrer l’âne le lendemain mais justement, le lendemain…

    – Désolé fiston, mais j’ai une mauvaise nouvelle: l’âne est mort !
    – Bien alors, rendez-moi mon argent ! .
    – Je ne peux pas faire ça. Je l’ai déjà tout dépensé…
    – OK alors, vous n’avez qu’à m’apporter l’âne !
    – Qu’est-ce que tu vas faire avec ?
    – Je vais le faire gagner par un tirage au sort à une tombola.
    – Tu ne peux pas faire tirer un âne mort !
    – Certainement que je peux. Je ne dirai à personne qu’il est mort !

    Dans sa situation, le fermier se dit qu’il ne peut pas vraiment refuser. Il amène donc l’âne au petit Nicolas.

    Un mois plus tard, il revient voir le petit Nicolas :
    – Qu’est devenu mon âne mort ?
    – Je l’ai fait tirer au sort. J’ai vendu 500 billets à 2 Euros: ça m’a fait une recette de 1.000 ?
    – Et personne ne s’est plaint ?
    – Seulement le gars qui a gagné. Ça fait que je lui ai rendu ses 2 Euros…

    Depuis le petit Nicolas a grandi oui bien grandi !! :angry:

  3. Très drôle !
    En voici une autre qui m’est arrivée ce soir :

    Georges est allé rendre visite à son voisin japonais qui a eu un grave accident de voiture.

    En arrivant à sa chambre d’hôpital, il trouve son voisin avec plein de tuyaux, plâtré, bref une momie complète.

    Le japonais ne pouvait pas bouger ; seulement les yeux étaient visibles et il semblait dormir.

    Georges reste en silence à côté du lit en observant l’état de son voisin….

    D’un seul coup, le japonais ouvre grand les yeux,presque désorbités, et cria:
    « SAKARO AOTA NAKAMY ANYOBA, SUSHI MASHUTA !!!  »

    Le japonais soupira et mourut.

    Les dernières paroles du japonais restèrent gravées dans la tête de Georges….

    Le jour de l’enterrement Georges s’approche de la veuve et de la mère du japonais :

    « Toutes mes condoléances !… » les embrassa toutes les deux et leur dit que, juste avant de mourir, Fujiko lui avait crié ces dernières paroles :
    « SAKARO AOTA NAKAMY ANYOBA, SUSHI MASHUTA !!!  »

    Savez-vous ce qu’elles veulent dire ?

    La mère de Fujiko tomba dans les pommes et la veuve très surprise le regarda fixement.

    Georges insista :  » Mais … que veulent-elles, dire ?  »

    Et la veuve :
    « TU MARCHES SUR MON TUYAU D’OXYGÈNE, CONNARD !!!!!!!  »
    :devil:

  4. Un type meurt sur la frontière Franco Belge, quand il arrive au ciel, Saint Pierre lui dit:
    – Bon, votre vie sur terre, pas terrible, pas souvent à la messe, un blasphème, quelques adultères. Je ne peux pas vous faire entrer au paradis, mais comme vous n’avez rien commis de grave, et que vous êtes mort sur la frontière, je vous laisse le choix entre l’enfer belge et l’enfer français.

    – Mais Saint Pierre, je ne connais ni l’un ni l’autre, pourriez vous m’en dire un peu plus ?
    – Et bien l’enfer belge, on vous met dans une grande marmite pleine de purin, des petits gnomes très, très vilains qui sentent mauvais mettent des bûches sous la marmite, un dragon vient allumer les bûches et vous cuisez toute la journée et le lendemain, pareil !

    – Et l’enfer français ?
    – Et bien l’enfer français, on vous met dans une grande marmite pleine de purin, des petits gnomes très, très vilains qui sentent mauvais mettent des bûches sous la marmite, un dragon vient allumer les bûches et vous cuisez toute la journée et le lendemain, pareil ! Mais moi, je serais vous, je prendrais l’enfer français…
    – Mais Saint Pierre, c’est la même chose !
    – Non, dans l’enfer français, un jour les gnomes sont en grève, un jour on n’a pas livré les bûches, un jour le dragon est en RTT, un jour on ne trouve plus la marmite, un jour on n’a pas commandé le purin !!

    PS : j’ai envoyé cette histoire à un certain nombre de personnes. Un nuveu m’a répondu :
    Personellement, je préfère l’enfer belge, car ce qu’oublie de préciser Saint Pierre c’est que dans l’enfer belge, avant de faire quelque chose, ils débatent d’abord pendant de longs mois pour savoir quelle langue les gnomes et le dragon vont parler entre eux! :devil:

  5. Un jour, alors qu’il marchait dans la rue, un jeune européen qui s’est toujours bien comporté est tragiquement heurtée par un autobus et meurt. Son âme arrive au Paradis où elle est accueillie par St Pierre.
    – Bienvenue au Paradis, avant de vous installer ici, il semble que nous ayons un problème. Voyez-vous, c’est plutôt étonnant mais nous n’avons jamais eu de personne aussi peu critiquable jusqu’ici et nous ne sommes pas tout à fait sûrs de ce que nous devons faire de vous.
    – Aucun problème, laissez-moi simplement entrer, dit le jeune homme.
    – J’aimerais bien mais j’ai des ordres qui viennent d’en haut. Ce que nous allons faire, c’est vous laisser passer un jour en Enfer et un jour au Paradis et ainsi vous pourrez choisir où vous voudrez passer l’éternité.
    – Je pense que j’ai déjà fait mon choix… Je préfère rester au Paradis, dit la femme.
    – Désolé, mais nous aussi avons des règles…
    Et ainsi St Pierre emmena le jeune européen dans un ascenseur qui descendit en Enfer. Les portes s’ouvrirent et il se retrouva sur le green d’un terrain de golf magnifique. Un peu plus loin, il y avait le restaurant et devant, tous ses amis, bien habillés, qui l’acclamèrent. Ils s’approchèrent, l’embrassèrent et parlèrent du bon vieux temps. Ils firent un excellent parcours de golf et, le soir allèrent au restaurant où ils dégustèrent un excellent steak et du homard. Le jeune homme rencontra le Diable, réellement quelqu’un de charmant et il passa un merveilleux moment à raconter des histoires et à danser. Il passa un si bon moment qu’avant qu’il ne s’en rende compte, il était temps de partir. Tout le monde lui serra la main, lui fit au revoir et il monta dans l’ascenseur. Celui-ci retourna au Paradis et il retrouva St Pierre.
    – Maintenant, vous allez passer un jour au Paradis, dit-il.
    Il passa ainsi les 24 heures suivantes allongé paresseusement sur les nuages à jouer de la harpe et à chanter. Il passa un si bon moment qu’avant qu’il ne s’en rende compte les 24 heures étaient passées et St Pierre était de retour pour l’emmener.
    – Alors, vous avez passé un jour en Enfer et un jour au Paradis. Maintenant, vous devez choisir pour l’éternité.
    Le jeune homme réfléchit un instant et répondit : – Eh bien, je n’aurais jamais cru que je dirais ceci, le Paradis est vraiment bien mais je crois que je me plairai plus en Enfer.
    Alors, St Pierre l’escorta jusqu’à l’ascenseur et il descendit à nouveau en Enfer.
    Quand les portes de l’ascenseur s’ouvrirent, il se retrouva dans un paysage désolé plein d’immondices. Il vit ses amis vêtus de haillons ramassant les saletés pour les mettre dans des sacs. Le Diable vint vers lui et lui mit brutalement la main sur l’épaule.
    – Je ne comprends pas, balbutia le jeune européen, hier j’étais ici et il y avait un parcours de golf et un country club et nous avons mangé du homard et nous avons dansé et nous nous sommes bien amusés. Maintenant, c’est un désert d’immondices et tous mes amis semblent si misérables… »
    Le Diable la regarda et sourit : « Il ne faut pas confondre tourisme et immigration. »

  6. Sarkozy se promène à cheval dans les rues. Cheminant, il croise la route d’un jeune garçon à vélo. Il observe le vélo et…
    …s’adresse au jeune garçon :
    « bonjour mon petit, c’est le père Noël qui t’a apporté ton vélo ? »

    Le garçon de lui répondre « oui monsieur Sarkozy »

    Sarko lui dit alors : « Eh bien la prochaine fois tu diras au père Noël que son vélo n’est pas conforme »
    Il tend alors une amende de 25 euros au jeune garçon.

    Vexé, le jeune garçon lui répond alors :
    « Et vous monsieur Sarkozy, votre cheval vous a été offert par le papa Noël ? »

    Sarko se prenant au jeu lui répond :
    « oui mon garçon »

    Et le gamin de rétorquer :
    « Eh bien vous direz au papa Noël que son cheval n’est pas conforme : le trou du cul doit se trouver derrière et non dessus »

  7. AU PERE SPICACE

    Un grand malheur est arrivé à l’abbaye et j’ai la pénible mission de vous en faire part.

    Mardi soir, pendant que l’abbé Nédictine donnait les dernières grâces, l’abbé Quille perdit l’équilibre dans l’escalier et tomba inanimé dans les bras du Père Iscope.

    Un seul restait joyeux : le père Fide. Quant à l’abbé Tise, il n’y comprenait rien. Il aurait bien voulu que le saint Plet l’aide à comprendre ce qui s’était passé mais rien n’y fit.

    Après l’accident de l’abbé Quille, on alla chercher le Père Manganate et le Père Itoine, les deux médecins de l’abbaye. Ils pensaient ranimer le malheureux mais leurs efforts furent vains et celui-ci décéda peu après. Les révérends pères, en perdant l’abbé Quille, perdaient leur seul soutien.

    Le lendemain fut donc célébré son enterrement. Chacun fut appelé à l’abbaye par les célèbres cloches du Père Sonnage. La messe fut dite sur une musique de l’abbé Thoven. Le père Ocquet fut chargé du sermon et comme il n’y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du Père Choir. A la fin de l’homélie, le Père Cepteur fit la quête et remit les dons ainsi recueillis à notre frère africain, l’abbé N ‘ Pé.

    Après la messe, une grande discussion s’engagea pour le transport de la bière : l’abbé Canne et l’abbé Trave voulaient passer par les champs. Le Père Clus s’y opposa. L’abbé Casse en fut enchanté. Le Père San avec sa tête de turc ne voulait rien entendre. Le Père Vers et le Père Nicieux semaient le doute dans les esprits.

    Finalement on décida que, comme à l’accoutumée, l’abbé Taillière serait chargé du transport du corps du défunt. Devant la tombe creusée par le Père Forateur et en l’absence du Père Missionnaire, l’abbé Nédiction donna l’absolution. Le Père Venche et l’abbé Gonia avaient joliment fleuri la tombe. Celle-ci fut recouverte d’une belle pierre tombale préparée par l’abbé Tonneuse. Sur le chemin du retour, le spectacle fut déchirant.

    Le Père Pendiculaire était plié en deux de douleur et de chagrin. L’abbé Vitré était lui aussi plein de larmes. La Mère Cédès , invitée pour l’occasion, fermait la marche en compagnie du frère du Père Igord.

    A l’arrivée, le Père Sil et l’abbé Chamelle préparèrent le repas tout en consultant les livres culinaires du saint Doux. Le Père Nod et le Père Collateur servirent à boire et chacun put se remettre de ses émotions.

    Signé : L’abbé BICITER

  8. Vous savez sans doute que, dans des temps anciens, pour s’assurer que quelqu’un était bien décédé, l’usage voulait qu’une personne en charge de cette vérification morde violemment un des doigts de pied de la victime (en général le gros orteil).
    Si rien ne se passait, la personne était déclarée morte. C’est donc de là que vient l’appellation de « croque-mort ».

    Cette fonction de croque-mort, qui en fait était une vraie charge (comme les bourreaux) se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps.

    Mais un jour, catastrophe : le dernier croque-mort, bien que père de nombreux enfants, n’avait eu aucun garçon ! Après concertation, sa fille aînée reprit donc la charge. Mais une des premières victimes qu’elle eut à traiter était un jeune homme décédé d’une maladie grave : blessé aux jambes, la gangrène l’avait gagné et on lui avait coupé les deux jambes jusqu’aux cuisses avant qu’il ne meure des suites de l’opération.

    Là, je suis certain que vous me voyez arriver avec mes gros sabots…

    La jeune fille examina la situation et mordit donc avec précaution le premier membre inférieur qu’elle put trouver.

    Alors ?

    Alors ???

    Ce fut à cette époque, et très précisément dans ces circonstances qu’on passa de l’expression « croque-mort » à celle de « pompe funèbre ».

  9. Monsieur le Ministre de la Défense Nationale,

    Permettez-moi de prendre la respectueuse liberté de vous exposer ce qui suit et de solliciter de votre bienveillance l’appui nécessaire pour obtenir une démobilisation rapide.

    Je suis sursitaire, âgé de 24 ans, et je suis marié à une veuve de 44 ans, laquelle a une fille qui en a 25. Mon père a épousé cette fille.

    A cette heure, mon père est donc devenu mon gendre, puisqu’il a épousé ma fille. De ce fait, ma belle-fille est devenue ma belle-mère, puisqu’elle est la femme de mon père.

    Ma femme et moi avons eu en janvier dernier un fils. Cet enfant est donc devenu le frère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père.

    En conséquence, mon oncle, puisqu’il est le frère de ma belle-mère. Mon fils est donc mon oncle.

    La femme de mon père a eu à Noël un garçon qui est à la fois mon frère puisqu’il est le fils de mon père, et mon petit-fils puisqu’il est le fils de la fille de ma femme. Je suis ainsi le frère de mon petit-fils, et comme le mari de la mère d’une personne est le père de celle-ci, il s’avère que je suis le père de ma femme, et le frère de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père.

    De ce fait, Monsieur le Ministre, ayez l’obligeance de bien vouloir me renvoyer dans mes foyers car la loi interdit que le père, le fils et le petit-fils soient mobilisés en même temps.

    Dans la croyance de votre compréhension, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, l’expression de mes sentiments les meilleurs.

    :wassat:

    Pas évident le boulot de ministre n’est-ce pas Hervé Morin !!!

  10. Balèze : de l’art de ne pas décomposer les familles !
    Je suis désormais certain de ne pas aller en Afghanistan, car j’ai d’ores et déjà jeté mon dévolu sur une veuve appropriée… reste à convaincre mes parents !

  11. « Confessions »

    Une femme reçoit souvent son amant pendant que son mari est au travail.

    Un jour, son fils de 8 ans se cache dans l’armoire pour voir ce que sa mère fait avec cet homme-là .
    Un moment plus tard, le mari rentre à l’improviste.
    Paniquée, la femme cache son amant, dans la même armoire.
    – le fils : fait sombre ici.
    – l’amant : ouais c’est vrai
    – le fils : j’ai un ballon de foot
    – l’homme : content pour toi
    – le fils : tu veux l’acheter ?
    – l’homme : non merci
    – le fils : mon père est là dehors
    – l’homme : ok, combien
    – le fils : 250 euros

    Quelques jours plus tard, le fils se retrouve à nouveau dans l’armoire en compagnie de l’amant de sa mère
    – le fils : fait sombre ici
    – l’homme : ouais c’est vrai
    – le fils : j’ai des super baskets
    – l’homme se rappelant la dernière fois, grimace : combien ?
    – le fils : 500 euros

    Quelques jours plus tard, le père dit à son fils : mets tes baskets et prends ton ballon, on va faire une partie.
    – le fils : je peux pas, j’ai tout vendu
    – le père : pour combien
    – le fils : 750 euros
    – le père : c’est inadmissible d’arnaquer les gens comme ça. Ces affaires n’ont jamais côté ce prix là. Je t’amène à l’église pour te confesser.

    Le père amène son fils à l’église, le pousse dans le confessionnal et ferme la porte.
    – le fils : fait sombre ici
    – le curé : merde, maintenant t’arrête tes conneries !

  12. Le saucisson d’âne Corse

    Un corse montre à son fils une collection de machines à faire du saucisson d’âne:
    Il y a la machine de l’arrière grand-père, du grand-père, du grand-oncle, etc…
    Tu vois, mon fils, avec le temps et l’expérience, les machines se sont
    perfectionnées…
    Le garçon demande alors avec un air idiot :
    – Il n’y a pas une machine moderne où on mettrait le saucisson dedans et il en ressortirait un âne?
    – Mais bien sûr que si, fiston il y en a une : Ta pauvre mère …… !!!!
    :sad:

  13. Ma toute première fois ……

    La nuit était noire
    La lune était blanche
    Nous étions seuls
    Elle et moi

    Sa peau si douce
    Ses yeux si bleus
    Je savais ce qu’elle
    Attendait de moi

    Je lui dis de se calmer
    De ne pas se rebeller
    Je fis courir ma main
    Doucement sur ses reins

    Je n’y connaissais rien
    Mais je fis de mon mieux
    Pour placer mes doigts
    Délicatement entre ses seins

    Je me souviens de ma peur
    De l’excitation de mon coeur
    Jusqu’à ce moment béni
    Ou ma honte s’enfuit

    Après quelques Hisse et Han
    Il ne fallut pas longtemps
    Pour qu’en un jet puissant
    Jaillisse le liquide blanc

    Enfin j’avais réussi
    J’étais un homme à présent
    C’était la toute première fois
    cet automne…
    Que je trayais…
    une vache Bretonne
    :blush:

  14. Ce qui est bien avec ce genre d’histoire, c’est qu’on peut la mettre à toutes les sauces régionales. Ainsi, la fin de la version franc-comtoise :

    « C’était la toute première fois
    cet automne…
    Que je trayais…
    une montbéliarde ! »

  15. Les pastilles à la menthe

    Fidèle à ses habitudes, une petite vieille assiste à la messe du matin, quand tout à coup le curé dit :
    – Que tous ceux qui ont commis le péché d’adultère s’avancent. La petite vieille, un tantinet dure d’oreille, demande à son voisin :
    – Qu’est-ce que vient de dire monsieur le curé ?
    Ce dernier répond :
    – Il a dit que tous ceux qui désirent une pastille à la menthe s’avancent.
    La petite vieille, chancelante et s’appuyant sur sa canne, se lève alors avec peine.
    Le curé lui lance, offusqué :
    – Vous ? Madame ? A votre âge, vous n’avez pas honte ?
    – C’est pas parce que je n’ai plus mes dents que je ne suis pas capable d’en sucer une de temps en temps, vous savez !
    :shocked:

  16. Le passager

    Un passager dans un taxi se penche vers l’avant pour pouvoir poser une question au chauffeur et lui touche l’épaule doucement pour attirer son attention.

    Le chauffeur lâche un cri, perd le contrôle du véhicule, évite un autobus de justesse, monte sur le trottoir et s’arrête à quelques pouces de la vitrine d’un magasin !

    Pour quelques instants c’est le silence et le chauffeur déclare, d’une voix tremblante :
    – Je regrette, mais vous m’avez vraiment fait peur!
    Le passager s’excuse en disant qu’il ne pensait pas qu’un simple touché sur l’épaule pourrait l’apeurer autant. Le chauffeur répond :
    – Ne vous excusez pas, c’est entièrement de ma faute. C’est ma première journée de conduite de taxi.
    Ces 25 dernières années, je conduisais un corbillard…
    :unsure:

  17. Une vieille dame rentre chez elle avec deux cabas bien chargés.
    Arrivée au bas de ses 4 étages sans ascenseur, elle avise la présence d’un groupe de jeunes, indifférents.
    – Bonjour les enfants, me donneriez-vous un coup de main ?
    – Oui M’dame, vous nous offrez quelque chose en échange ?
    – du shit, ça vous va ?
    – Ben ça alors, oui !

    Les jeunes prennent les cabas et grimpent chez la vieille. Elle les installe autour de la table de la cuisine et les interroge :
    – alors que préférez-vous ? Shit orange ou shit citron ?

  18. C’est pour un sondage

    A la sortie d’une pharmacie, un homme interroge les clients pour un sondage:

    – Bonjour Monsieur. Je représente le laboratoire KIGLISS et je fais un sondage sur les multiples usages de la vaseline. Avez-vous quelques minutes à m’accorder, pour connaître vos utilisations de ce produit ?

    L’homme répond:
    – D’accord. Alors à la maison, on utilise la vaseline pour les coupures, la peau sèche, et quand on fait l’amour aussi….!!

    L’enquêteur lui demande alors:
    – A propos de la dernière utilisation que vous avez citée, pourriez-vous préciser les conditions dans lesquelles vous utilisez la vaseline ?

    Alors, sans se démonter, l’homme répond:
    – J’en mets sur la poignée de porte… Ça empêche les enfants d’entrer dans la chambre !
    :lol:

  19. Un homme entre dans la douche au moment précis ou sa femme en sort, lorsque la sonnerie retentit à la porte de leur maison.
    La femme s’enroule dans une serviette de toilette, descend les escaliers en courant et va ouvrir la porte d’entrée :
    C’est Laurent, le voisin d’ à côté.
    Avant qu’elle n’ait pu dire un mot, il lui lance :
    – « Je te donne 800 € immédiatement si tu laisses tomber la serviette qui te couvre ».
    Elle réfléchit à toute vitesse et décide de laisser choir la serviette.
    Il l’admire à loisir, puis lui tend 800 €.
    :wub:
    Un peu éberluée, mais contente de la petite fortune qu’elle vient de se faire en un clin d’oeil, elle remonte dans la salle de bain.
    Son mari, encore sous la douche, lui demande :
    – « C’était qui ? »
    – « C’était Laurent »
    :blush:
    – « Super, il est venu avec les 800 € qu’il me devait ? »
    :shocked:
    :cwy:

  20. Quand mon voisin viendra me rendre l’argent qu’il me doit, je ferai donc gaffe de ne pas être sous la douche à ce moment-là ! :smile:

  21. Yves … :lol:
    Bernard … si tu n’es pas sous la douche, il y a des chances pour que tu sois dans ton affut ou au fond de ton jardin, alors, le résultat sera le même ! :tongue:

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