Chalon Dans La Rue

Nous avons pris l’habitude d’aller passer deux journées fin juillet au festival  de Chalon-sur-Saône : CHALON DANS LA RUE. Ce sera encore le cas cette année. Le festival aura lieu du 24 au 28 juillet et la famille dupdup y sera les jeudi 25 et vendredi 26. C’est un moment très attendu pour nous, on aime beaucoup. Des centaines d’artistes de rue seront là (plusieurs centaines de compagnies). Malgré le monde attendu (plusieurs centaines de milliers de personnes), cela reste très vivable (surtout le jeudi et le vendredi). Plutôt que d’aller aux spectacles officiels, je préfère la version off du festival et j’aime découvrir les choses au hasard des balades.

Mon coup de coeur de l’an passé fut un homme-arbre qui jouait de la scie musicale à faire sortir des larmes aux yeux.

IMGP4965Des tas de personnages improbables se rencontrent au hasard des rues …

IMGP4999 IMGP5000 IMGP5077 IMGP5209 IMGP5216 IMGP5217Beaucoup de musiques dans ce festival …

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… des spectacles déambulatoires dont ce dromadaire hallucinant qui fut l’une des stars de ces journées …

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… des pièces de théâtres bien évidemment …

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… mention spéciale à la troupe franc-comtoises des Urbaindigènes (avec un spectacle très violent et très émouvant sur la guerre)

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… parfois de simples petites scènes …

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… un lieu ouvert à l’expression de chacun …

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… un espace très convivial : le jardin de l’arquebuse, aménagé en guinguette où l’on se sent incroyablement bien …

IMGP5361 IMGP5382… et bon nombre de spectacles en nocturne …

IMGP5124 IMGP5129… avec, là encore un petit coup de coeur pour deux troupes franc-comtoises : la compagnie des chercheurs d’air …

IMGP5140 IMGP5138… et la Salamandre.

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En espérant peut-être vous y croiser cette année !

 

15 réflexions au sujet de “Chalon Dans La Rue”

  1. Tout ça donne l’eau à la bouche mais je crains fort la foule et je m’y sens oppressée.

  2. Bienvenue sur ce blog.
    La foule ne me semble pas être un problème dans ce festival. Il suffit de regarder les photos de cet article pour s’en rendre compte. Par ailleurs, il y a plein de petits lieux périphériques loin du centre de la ville, il s’y passe autant de choses bien mais avec beaucoup moins de monde.
    Je n’aime pas non plus la foule mais je n’ai jamais ressenti de côté oppressant à « Chalon dans la rue ».

  3. Tiens , y’a les gars du blogàdupdup en slip sur l’image (IMGP5335) !!!
    Et sur la photo suivante (IMGP5351) , toujours la même équipe mais … On vient d’annoncer qu’il n’y avait plus de bière à la buvette !!!
    :wink:

  4. En parlant de buvette, j’en profite pour dire que l’an passé, la Franche-Comté était la seule région à avoir eu un chapiteau à elle. C’était un lieu très sympa. D’abord parce qu’on y buvait de la bière franc-comtoise, également parce qu’il y avait sous ce chapiteau et à proximité des troupes franc-comtoises qui se produisaient mais aussi et surtout parce que c’était un point de ralliement pour les visiteurs qui avaient envie de retrouver d’autes Franc-comtois. J’y suis allé 4 ou 5 fois et à chaque fois j’y ai croisé des connaissances. ça fait du bien, lorsqu’on est dans une foule anonyme de croiser quelques personnes avec qui échanger (ou partager un verre).

  5. Quelle tête tu dois avoir pour arriver à y ranger autant de chôses…
    En tous cas, content pour toi que vous ayez passé de superbes moments !!!!!!
    Et moi j’emmagasine des idées pour les années ou je serai plus tranquille (Question timing)

  6. …. Dont voici les paroles :
    Comme le temps est pesant en mon âme escogriffe
    Un grand ciel menaçant, un éclair qui me crie
    Ton coeur est malicieux, ton esprit dans ses griffes
    Ne peut rien faire pour toi et tu es tout petit

    Les nuages voyageurs font des dessins abstraits
    Ils me parlent de bonheur que jamais je n’entends
    Je pourrais faire comme eux et partir sans délai
    Léger comme une poussière transporté par le vent

    Et dans la solitude de ma danse aérienne
    Le courage revenu, je trouverais les mots
    Je réciterais sans cesse des prières pour que vienne
    La douceur du silence d’un éternel repos, mais…

    Épuisé que je suis je remets à plus tard
    Le jour de mon départ pour une autre planète
    Si seulement je pouvais étouffer mon cafard
    Une voix chaude me dirait : tu brilles comme une comète

    Comme la lune est moqueuse quand elle s’empare du ciel
    Elle me regarde aller comme une lampe de poursuite
    Je voudrais la détruire ou me poser sur elle
    Étourdi par son charme qui jamais ne me quitte

    Je suis comme une loupe que le soleil embrasse
    Ses rayons me transpercent et culminent en un point
    Allument le feu partout où se trouve ma cuirasse
    Et après mon passage il ne reste plus rien

    Et dans la solitude de ce nouveau désert
    J’aurais tout à construire pour accueillir la paix
    Et tout mon temps aussi pour prévenir l’univers
    Que la joie est revenue et qu’elle reste à jamais… mais…

    Condamné par le doute, immobile et craintif,
    Je suis comme mon peuple, indécis et rêveur,
    Je parle à qui le veut de mon pays fictif
    Le coeur plein de vertige et rongé par la peur

    Et dans la solitude de ce nouveau désert
    J’aurais tout à construire pour accueillir la paix
    Et tout mon temps aussi pour prévenir l’univers
    Que la joie est revenue et qu’elle reste à jamais…

    André Fortin dit « Dédé »

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