49 réflexions au sujet de “Au hasard d’une balade …”

  1. Je ne donnerai pas plus de détails pour l’instant. Et comme te dirait mon ami le castor (ne serait-ce pas lui, d’ailleurs, qui se cache sous le pseudo de « Humeur grivoise ») en guise de réponse : « Tu peux te la tailler en pointe !!! » :D

  2. Ah ok , c’est le castor qui a fait ça , j’ai cru que c’était toi énervé après le résultat des élections !!!
    :lol:

  3. Vallée du Doubs ou vallée de l’Ognon ?
    Ou peut-être ailleurs, la Tounolle par exemple ? :o

  4. Les castors au chômage bientôt ?
    « Déboisement : le gouvernement souhaite se passer de l’avis de l’ONF »
    Un décret propose d’en finir avec la consultation de l’Office national des forêts pour des opérations de déboisement dans des sites gérés par les collectivités locales.

    Source : le Parisien (24 mai 2019) :
    http://www.leparisien.fr/societe/deboisement-le-gouvernement-souhaite-se-passer-de-l-avis-de-l-onf-24-05-2019-8078622.php?fbclid=IwAR3_rI6Dk17OvzYIZpxHvItJs7n34-9J4ZfijxlqO3UIOJFn8rcLSilF1cE

    « À cause de l’article 32 du TFUE (les verts ne pourront pas lutter contre), qui prône le commerce mondialisé, la France devient terre d’accaparement des ressources, par exemple en devenant une usine à bois pour la Chine ».
    Je préfère largement les sympathiques castors.
    Les décrets fleurissent en ce moment à vitesse folle.

  5. Oui. Le journaliste manque cependant de relever que les dispositions légales permettant ce scandale relèvent du TFUE ou Traité de Rome donc UE. Désolée d’en revenir à l’UE mais majoritairement tous nos ennuis viennent de là et hélas peu de français s’y intéressent. On se fait bien avoir dans l’histoire, voir les poulets de l’Ukraine même pas aux normes : https://welfarm.fr/poulet-ukraine

    Tous les secteurs sont concernés, pas seulement l’environnement et l’agriculture.

    Je pense à la magnifique forêt de Paimpont (ou Brocéliande pour les poètes) pas loin de chez Yves d’une superficie de 9.000ha et qui doit attiser les convoitises des milliardaires (chênes, minerai fer,…).
    Les chinois ont bon dos dans les critiques mais ils ne font que profiter de ces dispositions qui sont faites pour ceux qui ont du cash, idem pour les saoudiens (quand ils payent leurs factures, pas toujours le cas). J’ai lu ailleurs que des étangs étaient achetés en France pour produire des carpes Koï réservées et revendues à une riche clientèle (très peu de français) car les étangs chinois sont trop pollués… où va-t’on ? :(

    Pour changer de sujet, il parait que pour éviter les pucerons sur les cultures, il faut planter des sureaux ou autres végétaux de la famille des rumex (oseille,etc…) et effectivement le suc laiteux des ombelles ou corymbes de sureau les attirent et les coccinelles aussi en même temps. Les abeilles (sauvages que j’ai vues) sont également irrésistiblement attirées par le pollen des fleurs de sureau.
    J’ai 6 litres de « champagne des fées » qui maturent, ça sent bon !

  6. Blablabla, voilà ce qu’il en est de la prise en compte de la nature en France.
    A côté de chez moi se trouve la 2ème plus vaste forêt de feuillus de France, la forêt de Chaux, avec 13000 ha de forêt domaniale. On y coupe des chênes bicentenaires centenaires dans des parcelles de 400x200m. 25% du chêne français va en Chine, on y fait du parquet et des meubles… que nous importons.
    Nous exportons nos richesses, notre savoir-faire, les filières françaises s’effondrent… Vive le libéralisme et l’écologie façon Macron (pas mieux avant, mais pas pire).
    Les cerfs qui autrefois constituaient une des richesses de la forêt sont considérés comme des nuisibles (ils ont impact sur la productivité), les agents de l’ONF mangent leurs chapeaux, et aucune protestation n’est acceptée.
    Encore un effort, on crèvera plus vite !
    https://www.bastamag.net/Pesticides-monocultures-coupes-rases-comment-des-entreprises-rendent-la-foret

  7. J’ai pu voir (présenté par Ecologie citoyenne et Attac % ) le film  » Le temps des forêts  » de François-Xavier Drouet , 2018. qui développe bien tout ce que tu dis, avec maints témoignages, notamment le personnel de l’ONF. Très beau film,émouvant, instructif et alarmant.

  8. Merci Frusquin, je verrai ce film pour approfondir le sujet.
    Si l’arbre est le maître des sols, ainsi que le disent Claude et Lydia Bourguignon, de qui la forêt est-elle la maîtresse ?

  9. Et dire que je fais parti des nigauds qui mettent du compost au fond du trou pour planter un arbuste de haie….

  10. Frusquin tu n’es pas le seul, je le faisais il y a encore une dizaine d’années parce que mon père, mon grand-pére le faisaient. Mieux : ils enfouissaient religieusement le fumier frais en ligne sous une grosse palée de terre à chaque bêchage , ce que je ne fais surtout plus maintenant.
    Depuis 4 ans je « permaculturise » à outrance : la différence , en bien, est très nette après 2 à 3 ans ; fumier de surface, paillage et repaillage , BRF ,sans aucun enfouissement, je ne composte que l’excédent.
    Mais pour pailler correctement (5cm mini) un potager il faut au moins 3 à 4 fois la même surface à faucher. J’ai cette surface à l’aise avec de l’eau partout pour que çà pousse.
    C’est loin d’être le cas pour bcp d’autres…Comment font-ils? Sauf à compenser avec une balle de foin ou de paille, çà complique l’accès à une permaculture efficace , surtout avec les étés qu’on a depuis 2 ans…et cet été s’annonce comme redoutable pour les cultures ailleurs que dans le Nord où , sans paillage, çà n’est pas très brillant non plus pour le moment.

    Gérer un sol de jardin comme on gère un sol de forêt va devenir une gageure…

    Si le changement climatique actuel s’accentue, possible que toute la côte Nord-ouest, depuis la Bretagne jusqu’aux Hauts de France, devienne la nouvelle côte d’azur…

  11. Quant à la gestion des forêts imposée à l’ONF, Bernard à raison de rappeler qu’elle est plus qu’inquiétante.
    Les « saloperies » de cabinets de consultants apparus au début des années 2000 chez France -telecom et Renault pénêtrent et imprègnent tout, y compris maintenant l’ONF avec une radicalisation des transformations, des « méthodes »…..et avec les suicides qui vont avec….
    Les Politiques précédents les laissaient faire, Macron lui les remercie…
    Je ne relance pas ce débat, ce qu’on en connait se suffit à lui-même.

  12. Les sécheresses sont devenues telles (et attention, prévoyez un été bien pire que l’an passé, toutes les conditions sont réunies !) qu’il va devenir difficile d’acheter chez un paysan une botte de foin ou de paille pour protéger son jardin, car les vaches des paysans crèvent de faim et ceux-ci n’ont rien à vendre. On pourrait croire que la pénurie fait grimper les prix. Pas du tout (sauf pour le consommateur). Comme tous les paysans vendent une partie de leurs bêtes (vu qu’ils n’arrivent plus à les nourrir correctement), ça fait baisser les prix. Les paysans crèvent, les intermédiaires se frottent les mains et les consommateurs subissent.

  13. Bernard, les bêtes souffrent (pas trop chez nous), mais les productions céréalières, maïs, légumières peuvent être aussi limites : plein de champs de PdT autour de chez moi , plantées il y a plus d’un mois . Normalement maintenant elles couvrent leur route mais ici elles marquent à peine la ligne. Le maïs fait 15cm . Orges et blés risquent de faire un grain desséché comme il y a 2 ans. Si pas de pluies la semaine prochaine, maxi 10 à 15jrs, çà va craindre.

    Pour nos potagers, si on n’a pas trop d’eau et peu de paillis, je conseillerais de biner++ près des plants, puis faire un gros sillon ENTRE lignes (comme pour l’urine), arroser le fond du sillon à fond et ne pailler dru et large que ce sillon sans pailler les plants binés. C’est je crois la meilleure utilisation possible d’un paillis limité.
    Eviter d’arroser les plants en surface et sur la ligne , c’est ce qu’il y aurait de pire.

    J’ai la grande chance d’avoir paillis et eau à profusion (je culpabilise presque…)…et avec le démarrage à l’urine que j’ai systématisé cette année , c’est la luxuriance sans aucune maladie . Rarement eu un jardin comme çà . J’ai entre autres enfin remis plein de pieds de tomates en pleine terre , actuellement elles sont plus belles que celles de la serre!
    Bon, l’été n’est pas fini…
    Bon courage à tous.

  14. De toute façon, au niveau jardinage, c’est une année exceptionnelle car les conditions sont très dures et c’est une magnifique occasion d’améliorer très vite nos pratiques. Beaucoup vont arrêter définitivement le jardin mais les autres vont mettre à profit ces conditions difficiles pour trouver une méthode efficace de lutte contre les changements. Enfin, c’est une manière optimiste de voir les choses, elle en vaut d’autres non ?

  15. Les « mauvaises herbes » au pied des arbustes et arbres: est ce qu’elles parasitent et leur boivent eau et nutriments ,auquel cas il faut les arracher et faire un paillage renforcé par d’autres arrachées plus loin ? Ou est ce qu’elles entretiennent un micro-climat et un genre d’équilibre ?( « Il faut faire propre » disent les voisins. mais je n’ai pas d’herbe sale )

  16. Facile de reconnaître une bonne herbe d’une mauvaise. Suffit de l’arracher ! Si elle repousse, c’est une mauvaise … ! :D

  17. Frusquin, vu l’été qui s’annonce, « faire propre » (terre à nu) serait une grave erreur…(pourquoi pas le faire au round-up pdt qu’on y est? Les mêmes sont capables de tondre hypercourt puis de balancer de l’azote et de brancher l’asperseur :evil: :wink: )

    Si les plantations sont de l’année ou de l’année dernière, ne pas arracher mais faucher ou tondre, greliner sur 1m2, puis balancer au moins un arrosoir plein par pied pour descendre l’eau à 50/60cm mini , et pailler épais sur la même surface (au pire une toile perméable si pas de paillis). Si été très sec, 2è arrosage dru 1 mois plus tard.
    Si plantations plus anciennes, les racines sont descendues, on peut pailler ou pas selon ce qu’on a, sinon faucher ou tondre très haut (surtout pas court, idem pour les pelouses) et laisser sur place pour limiter l’évaporation de surface. Sauf au printemps pour les limaces :twisted: , aucune terre à nu.

    Le temps n’est plus à l’esthétique avant tout, mais à un compromis avec les nouvelles conditions climatiques et la compréhension plus vraie des besoins d’un sol qui se décompacte par les racines de toute plante et s’en nourrit ensuite.
    Sauf en potager (et encore) je n’arrache plus les adventices mais je les préserve par fauchage. Elles ne me sont plus un Pb mais une richesse!

    …… »mettre à profit ces conditions difficiles pour trouver une méthode efficace de lutte contre les changements. »…Je cite qui vous savez, avec, vu la chaleur, une …anisade légère à la main! :wink:

  18. Au sujet des adventices : même constat que Michel de façon générale, très souvent elles ne sont pas gênantes (enracinement peu profond) ou sont favorisées par un sol à nu (liseron, renoncule rampante, chiendent). Désormais, j’en arrache de moins en moins, et cela limite les pénibles.
    Quant aux adaptations face à la sécheresse. J’en suis rendu à prévoir le stockage : soit la citerne enterrée et que j’espère existe (à voir avec un 2ème sourcier), soit mon gigantesque toit servira à remplir des réserves conséquentes.
    Jusque-là, par chez moi, le démarrage est bon (semis, développement des plants, fenaison), mais la suite est inquiétante sans nouvelles précipitations.
    Par contre, pour les abeilles, après un démarrage exceptionnel, le coup de froid a fait du mal.

  19. Bernard : ça fait bien 4 ans qu’on voit des traces de castors dans le Doubs à hauteur de bezak. Tout ne tombe pas, mais on voit bien les entailles et les copeaux :)

  20. Florent, tu as raison de revenir sur le thème du blog.
    Comme je n’ai pas de castors, je voudrais juste préciser une dernière chose quant à l’éventuelle sécheresse annoncée :
    Si vous le pouvez, utilisez le GAG (goutte à goutte) bien meilleur que l’arrosoir.
    Surtout pas ce modèle trop compliqué et trop cher:
    https://www.rustica.fr/tv/tomates-arrosage-goutte-goutte,7752.html
    mais celui-ci :
    https://www.irrijardin.fr/produit/tuyau-dripline
    utilisé par les Pros, 1,6l/h régulé par trous espacés de 30cm.
    A poser sur sol biné, terre quasi sèche sans colmatage sous le trou, mais humidité profonde (30/40cm) et large (25cm de chaque coté). Très peu d’évaporation de surface.
    …si paillage possible par dessus, là c’est le Top: Arroser au moins 2H et vous êtes tranquille pour 3 semaines mini par temps chaud et sec. Hyper-rapide, un robinet à tourner sur programmateur manuel bien suffisant, et aucune fatigue de portage.
    L’économie d’eau est optimale et gain phénoménal de temps.
    Il faut juste un tuyau assez long pour amener l’eau jusqu’au potager.

    A l’inverse testez un arrosage dru à l’arrosoir sur sol bien sec : un coup de croc et vous verrez le peu de profondeur de pénétration alors que « vous avez cru en mettre ». Par temps très chaud, une cata pour les plants qui ne développent leurs racines qu’en sous-surface.
    Je ferme cette parenthèse que j’ai jugée utile pour ceux qui ne connaissaient pas.

  21. Ici pas de problème , pas de changement climatique , pluie , vent fort , 13° … Tout va bien sur la Bretagne !!! :lol:

  22. Un proverbe chinois pour étayer votre discussion sur les mauvaises herbes :
    « Ce ne sont pas les mauvaises herbes qui étouffent le bon grain, c’est la négligence du cultivateur. » :wink:

  23. En Artois, pluie d’orage cet AM, 9mm en 10mn, un peu violent mais aucun dégât.
    Coup de plantoir pour vérifier la descente de l’eau dans le sol qui était très sec : 3cm mouillé en surface et c’est tout.
    Il en faudra encore.

  24. Avec ma technique de travail permanent de la terre, ça mouille à 20 cm de profondeur même quand il ne pleut que 3 mm. Impressionnant !
    De toute façon je n’ai pas le choix, comme je fais du jardin en plein champ et qu’il n’y a aucune possibilité d’arrosage, le travail de la terre qui permet à la fois de tempérer les excès de sécheresse ou au contraire de pluie, est la seule manière possible.
    Allez hop, je file au champ avec ma sarclette !

  25. -3mm çà fait 3l/m2. Sur terre sèche binée çà mouille en surface sur 1 bon cm, pas au delà.
    Avec un paillis qui aura gardé la terre un peu humide, le paillis sec va boire une partie de ces 3mm, le reste peut descendre sur 3cm maxi.
    Comment fais-tu pour que çà mouille sur 20cm? Tu bines profond après chaque pluie pour enfouir ce peu d’humidité? Auquel cas tu ne peux pas pailler, ou tu écartes le paillis à chaque fois pour biner?
    Sans arrosage possible, avec ton climat d’été le paillis est quasi indispensable…?

    Chez nous on dit qu’en dessous de 5mm c’est pour le vent et pas pour la terre, (sauf si elle est déjà humide et qu’on rebine le lendemain).
    La nuit dernière on a eu 14mm , pluie douce et sans vent, une pluie de jardinier.
    On a eu de la chance…23mm en tout.
    D’ici 8 jours les PdT de champ et les maïs vont couvrir leur route, les blés vont gonfler leurs grains, les betteraves sont gaillardes…. Cà va le faire.

  26. Non non, bien plus profond. Avant-hier soir il a plu 3 mm et j’en ai profité pour biner ensuite la terre (qui était déjà pourtant bien meuble). Je travaille toujours la terre après la pluie. Mon voisin de jardin qui ne travaille pas sa terre était désolé car les 3 mm de pluie n’ont eu aucun impact sur son terrain dont la surface ressemble plus à du béton qu’à de la terre. Il est venu me voir et n’en revenait pas de la manière dont la pluie avait pénétré sur mon terrain.

  27. AU hasard d’une ballade sur le net, je vous fais suivre ce lien pour info « L’incroyable aveu de chercheurs de l’INRA sur l’agriculture BIO » : https://www.association-sante-naturelle.info/bio-saborde/

    et une de leur pétition actuelle : https://www.non-deforestation-france.com/signature

    Autre région, autres moeurs ;) notre butte permaculture parisienne se porte bien, en prévision de l’été nous avons vidé l’eau de pluie de ces derniers jours stockée dans une grande poubelle afin qu’elle puisse bien aller jusqu’au bois mort qui en constitue la première couche du fond. Le bois devrait servir d’éponge naturelle. La terre est agréable, souple et remplie de lombrics qui festoient de la dernière couche de déchets de fruits et légumes. Elle maintient bien une humidité constante pour l’instant.
    Plantation de tomates, concombres, haricots nains, aubergines, poivrons rouges, aromates. A voir, drôle d’expérience tout de même sur les toits.

    Pour info, qq projets d’agriculture urbaine à Paris : http://www.parisculteurs.paris/fr/actualites/1629-5-films-pour-decouvrir-un-paris-agricole.html
    Il y a de tout !
    Belle journée à vous 8)

  28. …sans herbe de tonte (bio et sans crottes de chiens) disponible, nous avons paillé la butte avec du foin.

  29. Hier, avec Joëlle, dans la forêt qui est derrière la maison, on a vu un énorme sanglier passer devant nous. IL était énorme. Puis quatre autres 30 secondes plus tard. Et ensuite un autre quelques minutes plus tard.
    J’ai toujours beaucoup aimé les sangliers. Quand j’étais gamin il y avait une BD que j’adorais et qui s’appelait « Sylvain et Sylvette ». Outre Sylvain et Sylvette il y avait les quatre compères : un loup, un renard, un ours et un sanglier. Le sanglier était mon personnage préféré !

  30. Sylvain et Sylvette… et Gédéon le canard, Bécassine, Petzy… Nostalgie quand tu nous tiens! :wub: :smile:

  31. moi aussi, le sanglier a toujours été mon animal préféré (un bon gigot au four) car je suis petite-fille et nièce de chasseur………….

  32. Pas étonnant, ça fait un moment qu’il est à Besançon et alentours. Par contre on voit ses traces mais pas l’animal… En tous cas je n’en ai jamais vu.

  33. Enfin non, ça n’a rien à voir. Pour coloniser Bussières à partir de Besançon, il aurait fallu qu’il fasse au moins 200 km à la nage ! :wink:

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