18 réflexions au sujet de “Le slam de Victor H.”

  1. Ce morceau doit avoir énormément d’importance pour Guy Marchand car il a décidé de terminer sa carrière en 2015 avec ce titre, qui est sans doute très à contre-courant de qui se faisait à l’époque, mais tellement fort …

    Finalement il n’a pas pu s’empêcher de reprendre le chemin des studios car l’an passé il a ressorti un disque.

  2. Apparemment le monsieur n’a plus trop de sous, ça peut aider de sortir un disque sans verser de droits d’auteurs :whistle:

  3. C’est Ludovic Beier à l’accordéon, on ne se refuse rien :wink:

    Trop lisse pour moi ce jazz manouchiant bien que ça soit joué aux petits oignons. Du manouche pour bobo parisien, loin de la folie de Tchavolo Schmit, de la grâce de Angelo Debarre etc etc :ninja:

  4. Je comprends ce que tu dis, c’est très « convenu » mais j’aime beaucoup (en fait, j’aime surtout cet aventurier « tous azimuts » qu’est Guy Marchand).

    Le jazz manouche est quelque chose que j’ai du mal à suivre. J’ai vu un concert assez récemment, Bireli Lagrène. Très technique. Les mecs qui jouent c’est pas du genre à sourire, ni musicalement, ni en vrai. Je me suis profondément ennuyé (alors que j’étais très près de la scène et qu’il y avait un côté visuel).

    Je pense parfois (mais je fais exprès d’exagérer mon propos) que le jazz manouche aurait dû s’arrêter avec celui qui était unique (Django) tout comme le jazz vocal aurait dû s’arrêter avec Billie Holliday après sa période 1933-1944. Je force un peu trop le trait en disant ça, mais quelque part oui je le pense vraiment. Mais c’est pas dans l’air du temps de dire tout ça. Alors je n’ai rien dit ! :whistle: :wink:

    J’ai bu une bière avant-hier avec un guitariste vrai fan de Django Reinhardt, il connaît l’ensemble de son oeuvre (une quarantaine de disques) (et en plus lui-même joue très bien), ça force le respect !

  5. Luc a parlé plus haut de l’écriture incroyable de Victor Hugo.
    En ce moment, je chante souvent Gastibelza, écrit par Victor puis retravaillé par Brassens (qui n’a choisi que certains couplets) et mis en musique par lui.
    Et je me régale de l’écriture du père Hugo.
    Prononcer une phrase comme « vraiment la reine eut près d’elle été laide …. » est une vraie jouissance pour moi quand je la chante.

  6. Meilleur écrivain français le pêre Hugo, c’est juste un plaisir de lire ses tournures de phrases, son style. Et pas que dans ses poèmes. Les romans sont d’un travail d’écriture remarquable.

  7. Je viens de voir que Victor Hugo a écrit peu de romans, neuf seulement, c’est peu (comparé à certains auteurs très prolixes). A part Les Misérables, je me rends compte que je n’ai lu aucun autre roman de lui. Même pas « Notre Dame de Paris ». Va falloir que je me rattrape !

    Par contre je viens de lire sa biographie sur wikipedia et effectivement, comme le dit la légende, ce mec-là était vraiment un chaud lapin. Et la chanson dont je me rappelle semble s’appuyer sur des faits connus de tout le monde : « Victor Hugo dans son cercueil bandait encore comme un chevreuil …! »

  8. Je te conseille L’homme qui rit, par exemple… Moins connu mais c’est d’un niveau…. Sans compter le sujet.
    Après 9 romans mais les Misérables c’est 3 volumes de 500 pages :whistle:

  9. Les Misérables, c’est pour moi quelque chose de très récent. Je l’ai lu il y a trois ans seulement. Auparavant, j’avais lu des poésies de Victor Hugo (pas mal même) mais aucun de ses romans. Il me reste quand même (enfin j’espère !) quelques années pour me rattraper. :wink:

  10. quelqu’un a parlé de cercueil
    alors voici une petite qui se passait dans un petit village vaudois.
    un couple, donc sa femme et son mari appelé « le petit Louis » même qu’il était très gros et très lourd s’étaient achetés deux cercueil.
    Un jour la femme décide de mettre des plantes séchées dans un des cercueil et……..quelques jours après, le petit Louis casse sa pipe.
    On le met dans un cercueil et la femme décide de laisser son mari dans la grange.
    Puis le jour de l’enterrement arrive et les pompes funèbres emportent pour mettre en terre le cercueil du petit Louis.
    Quelques jours plus tard la femme décide de faire monter le cercueil plein d’herbes dans le grenier, ce qui est demandé est fait.
    Un mois plus tard la femme va au grenier pour mettre encore des plantes, et stupéfaction, c’était le petit Louis qui était dans le cercueil.
    L’histoire doit être vraie car je l’ai trouvée sur le site internet de la commune vaudoise

  11. coucou les amis,
    je vous vois et vous entend rire sous cape, mais l’histoire des cercueils et du petit Louis est totalement véridique, j’ai encore vérifié ans les écrits de la commune vaudoise en question, mais cela devait se passer il y a plus de 200 ans.

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