« La Chine a Lao-Tseu.
Mais la France a la Haute-Saône ! »
14 réflexions au sujet de “Petit proverbe du jour”
mdrrr
Lao Tseu, qui, comme chacun sait, disait :
« Dans la brume du petit matin, sur l’étang,
Si tu vois un grand oiseau blanc
…C’est sûrement un signe. »
« Sois avare de tes paroles, et les choses s’arrangeront d’elles-mêmes »
– La Haute-Saône ?
– A tes souhaits !!!
La hotte sonne ?
Vite, le Pèe Noël arrive !!!
Lao Tseu aurait dit : Aucun de nous ne sait ce que nous savons tous, ensemble.
On aurait pu en faire la mascotte du blog.
Mais il aurait également dit : L’homme qui sait ne parle pas. L’homme qui parle ne sait pas.
Ce qui me fait penser à cette citation de Pierre Dac (autre philosophe) : Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs de ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l’ouvrir.
Là-haut t’seur la colli-ine
L’était un vieux… palais !
Bon d’accord, c’est tiré par les tseu-veux.
Alors un autre proverbe (thaïlandais) d’actualité, G8 oblige : Pingouins dans les champs, hiver très méchant !
Lao Tseu :
« Il y a deux types de personnes : celles qui ne peuvent s’empêcher de ranger les gens dans des catégories… et les autres. »
Son frère :
« Il y a trois types de personnes : celles qui savent compter… et les autres. »
Lao Tsôn un jour écrivit :
« Si tu veux apprendre la langue des oiseaux, écoute le silence des cailloux. »
Puis il réfléchit un instant, éclata de rire
… et se moucha à grand bruit dans la page arrachée.
***
– J’aimerais être immortel, dit un jour son disciple.
– A ton âge, répondit Lao Tsôn en essuyant sa bouche d’un revers de manche, quelle honte !
***
– Tout ce que je sais, dit maître Lao Tsôn, c’est que je ne sais rien.
Il reste un instant pensif, hausse un sourcil, puis ajoute aussitôt :
– Et encore, de cela même je ne suis pas sûr.
***
Broyant du noir, Lao Tsôn décide un jour d’aller chercher quelque réconfort auprès de l’ermite de la montagne.
Après deux heures de marche, trouvant la grotte vide, il rebrousse chemin. Traversant à nouveau les longues landes sauvages, il dit :
– Je n’ai vraiment pas de meilleur ami que cet ermite absent !
Lao Tsôn, un soir de beuverie, marmona :
– Si je dois être l’homme d’un seul principe, que ce soit celui de ne pas en avoir !
Lao Tsôn, commentant l’actualité politique :
– Ségolène ? Une porcelaine traversant sans se briser un magasin d’éléphants.
Je ne retrouve pas la première phrase que tu cites, Anne, dans le Tao Te King de Lao Tseu (mais peut-être l’ai-je trop rapidement relu), mais je retrouve bien Celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas.
Je trouve aussi (entre autres) : Les paroles de vérité semblent paradoxales.
Le vrai problème n’est pas tant de savoir qui de la poule ou de l’oeuf est premier mais comment – et pourquoi – le poussin est rentré dans la coquille.
J’ai des réponses, j’ai des réponses… Qui a des questions ?
mdrrr
Lao Tseu, qui, comme chacun sait, disait :
« Dans la brume du petit matin, sur l’étang,
Si tu vois un grand oiseau blanc
…C’est sûrement un signe. »
« Sois avare de tes paroles, et les choses s’arrangeront d’elles-mêmes »
– La Haute-Saône ?
– A tes souhaits !!!
La hotte sonne ?
Vite, le Pèe Noël arrive !!!
Lao Tseu aurait dit :
Aucun de nous ne sait ce que nous savons tous, ensemble.
On aurait pu en faire la mascotte du blog.
Mais il aurait également dit :
L’homme qui sait ne parle pas. L’homme qui parle ne sait pas.
Ce qui me fait penser à cette citation de Pierre Dac (autre philosophe) :
Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs de ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l’ouvrir.
Là-haut t’seur la colli-ine
L’était un vieux… palais !
Bon d’accord, c’est tiré par les tseu-veux.
Alors un autre proverbe (thaïlandais) d’actualité, G8 oblige :
Pingouins dans les champs, hiver très méchant !
Lao Tseu :
« Il y a deux types de personnes : celles qui ne peuvent s’empêcher de ranger les gens dans des catégories… et les autres. »
Son frère :
« Il y a trois types de personnes : celles qui savent compter… et les autres. »
Lao Tsôn un jour écrivit :
« Si tu veux apprendre la langue des oiseaux, écoute le silence des cailloux. »
Puis il réfléchit un instant, éclata de rire
… et se moucha à grand bruit dans la page arrachée.
***
– J’aimerais être immortel, dit un jour son disciple.
– A ton âge, répondit Lao Tsôn en essuyant sa bouche d’un revers de manche, quelle honte !
***
– Tout ce que je sais, dit maître Lao Tsôn, c’est que je ne sais rien.
Il reste un instant pensif, hausse un sourcil, puis ajoute aussitôt :
– Et encore, de cela même je ne suis pas sûr.
***
Broyant du noir, Lao Tsôn décide un jour d’aller chercher quelque réconfort auprès de l’ermite de la montagne.
Après deux heures de marche, trouvant la grotte vide, il rebrousse chemin. Traversant à nouveau les longues landes sauvages, il dit :
– Je n’ai vraiment pas de meilleur ami que cet ermite absent !
Lao Tsôn, un soir de beuverie, marmona :
– Si je dois être l’homme d’un seul principe, que ce soit celui de ne pas en avoir !
Lao Tsôn, commentant l’actualité politique :
– Ségolène ? Une porcelaine traversant sans se briser un magasin d’éléphants.
Je ne retrouve pas la première phrase que tu cites, Anne, dans le Tao Te King de Lao Tseu (mais peut-être l’ai-je trop rapidement relu), mais je retrouve bien Celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas.
Je trouve aussi (entre autres) : Les paroles de vérité semblent paradoxales.
Le vrai problème n’est pas tant de savoir qui de la poule ou de l’oeuf est premier mais comment – et pourquoi – le poussin est rentré dans la coquille.
J’ai des réponses, j’ai des réponses… Qui a des questions ?