A vos plumes ! (7)

Allez, un tout petit dernier atelier d’écriture avec cette fois-ci 10 mots couramment utilisés sur ce blog : blaireau, papillons de la Brenne, tomate, Texel, Guignolesque, Bob Dylan, botanique, hybridation, musical, guêpier.
A vos plumes !

33 réflexions au sujet de “A vos plumes ! (7)”

  1. Et voilà. C’est fini. Plus d’blogadupdup, ou presque. Voilà qui en attristera plus d’un et plus d’une ! Peut être cela ravirait-il le blaireau guignolesque dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom : une once de moquerie qui s’en va, un brin d’humour qui ne l’atteindra plus ! Mais pour ce qui est des restes du monde, il en va autrement : experts et novices, professionnels et dilettantes, tous avait pris l’habitude de venir jeter un mot ou un œil sur ce petit coin de paradis bien caché dans l’enfer internaute. Certains avaient été attirés par les débats lancés et par la lumière du maître des lieux, tels les papillons de la Brenne sur une lampe à ultra-violets, alors que d’autres avaient entendu un petit brin de musique et étaient venus partager avec l’inconditionnel de Bob Dylan qui siégeait en ces lieux, d’autres enfin préféraient le contact avec la nature qui leur était donné de garder au coin de l’œil dans leur décor de béton armé en apprenant chaque jour un peu plus sur la vie de nos camarades volants de Texel, ou sur l’hybridation des tomates afin de leur donner une teinte violacée et la peau matte.
    Mais voilà, le Dupdup a décidé de baisser les bras et de remonter ses manches : plus de botanique ni de dimanche musical, nous voilà donc tous seuls dans ce guêpier sans notre mentor ! Mais notre mentor nous donne encore une dernière leçon de vie avant de nous laisser un moment pour revenir bientôt nous faire un petit coucou : rien ne vaut un bon retour aux sources : une communion avec la nature plutôt qu’avec la technologie, avec les vrais gens plutôt qu’avec des entités quasi-virtuelles. Voilà, tous les mots y sont, il n’en manque qu’un, et pas des moindre : un grand Merci pour tout ton travail, et tes articles qui n’ont pas manqué de passionner tout un chacun, même si le sujet ne les concernait pas toujours directement, et au plaisir de partager à nouveau avec toi ce bon vieux rhum arrangé dont je ne me souviens que des premières dizaines de verres, lors de cette soirée lointaine passée chez vous avec Pascale et Michel ! A bientôt et encore merci !

  2. Un blaireau se prit un jour pour un papillon.
    « De la Brenne à Texel, je veux tout connaître de la botanique! » se dit-il en prenant son envol.
    Arrivé en pays batave, ne trouvant que des tomates, il se demanda dans quel guêpier il était tombé.
    Mais puisqu’il était à l’étranger, il désira rencontrer les autochtones.
    Il avisa un habitant à quatre pattes et grandes oreilles, affublé d’un drôle de couvre-chef : « et pourquoi t’as mis un bob, dis, l’âne? »
    La réponse fut on ne peut moins musicale …
    Il quitta ce quidam guignolesque et repartit bien vite.
    Très déçu, on s’en doute.
    Depuis, sans quitter son terrier, il s’informe dans la fameuse gazette de sa ville natale : il lit « Bride » à Sion.
    Une mine de renseignements … à l’image de cette ville historique si riche en événements divers.

  3. Allo ?
    Tiens, salut Elise.
    Comment je vais ?
    Si tu savais, je me retrouve dans un sacré guêpier …
    Non mais quelle idée de choisir les plantes des marais comme sujet d’étude !
    J’aurais mieux fait de m’intéresser au blaireau. Au moins, mon chéri et moi aurions des plages horaires de travail compatibles parce que lui, il étudie les papillons nocturnes de la Brenne.
    L’an prochain, on passera nos vacances à Texel à étudier, lui la barge rousse et moi la barge à queue noire (On va finir par nous prendre pour des barges). Au moins on sera ensemble !
    Encore, il ne faut pas se plaindre, si, pour les vacances de cette année les horaires ne correspondent pas, le lieu géographique au moins est le même.
    Tu imagines si j’avais choisi d’étudier la botanique dans les déserts ?
    Remarque, cela aurait été vite fait alors que dans les marais … Bonjour le boulot !
    Sans compter les acrobaties guignolesques auxquelles je dois me prêter pour observer les plantes sans me retrouver le derrière dans l’eau.
    Et puis, ce n’est pas si facile que ça. Tu sais, les plantes ne se gênent pas pour mettre en pratique l’hybridation sans demander l’autorisation de qui que ce soit. Alors pour la détermination, c’est « coton » !
    Franchement, j’en ai un peu marre de tout ça.
    Je ne rêve que d’une chose, un petit moment de détente avec mon chéri.
    Par exemple, un apéritif sur la terrasse ombragée du gite ou l’on loge, quelques sublimes tomates cerises du Dupdup à déguster, un verre de clairette de Die, un bon morceau de Dylan en fond musical.
    Bon allez, pas le temps de rêver, j’te laisse ma Lisette, j’ai encore tant à faire et merci d’avoir appelé.
    Bizzzzzzzzz

  4. Bravo à tous !
    La rubrique « à vos plumes » est sans doute celle que je regretterai le plus. J’ai eu tellement de plaisir à lire les écrits des uns et des autres.
    Dommage que je l’ai arrêtée peu de temps après la fin de l’hibernation du Luc de Belgique, il y avait de ce côté-là de beaux écrits en perspective ! :wink:

  5. Si tu veux voir le beau blaireau
    y’a pas de place pour l’apéro
    Sur la toile des papillons de la Brenne
    Pour les compter faut des semaines
    Suer des fois pour rien du tout
    C’est la tomate et le mildiou
    Annick n’aime pas la botanique
    Pourtant moi elle me botte Annick
    Quand l’oiseau blanc survole Texel
    Ton oeil heureux la vie est belle
    Près à craquer trop guignolesque
    Fait pas demi-tour t’y étais presque
    Un bon morceau de Bod Dylan
    Ça fait du bien ça te lave l’âme
    Hybridation chez les oiseaux
    Entre un pingouin et une poule d’eau
    Le guêpier t’offre ses couleurs
    C’est la nature c’est le bonheur
    Bonheur d’un dimanche musical
    Air Franc-comtois ou de Cancale
    Si un jour tu passes en Bretagne
    Ouvre donc une bière je t’accompagne
    :wink:

  6. L’aut’jour, vautré dans ma guimbarde antédiluvienne, je sirotais pépère une mousse en écoutant un standard de Bob Dylan, dans un coin perdu du nombril de la France : pur moment de délice musical pour le blaireau que je suis.
    D’un coup on toque à ma vitre.
    Un schtroumpf avait atterri dans mon paradis ; aussi bleu que tous ses collègues, il en avait aussi la face de tomate. Encore une hybridation ratée, genre rayon ultraviolet.
    Guignolesque !
     » On t’a retrouvé Texel !  » Beugle l’avatar à travers le carreau.
     » Mort aux vaches !  » Que j’lui réponds.
     » On a gardé au chaud toutes tes infractions dans l’Indre, racaille.  »
     » Mes papillons de la Brenne ? Tu peux te les épingler là où j’pense !  »
    Je vous passe les noms d’oiseaux et autres appellations botaniques locales qui agrémentèrent notre chaleureuse discussion, mais le fait est que je me retrouvais dans un sacré guêpier.
    Alors une fois l’aubergine partie (quelques puissantes déflagrations naturelles ayant dissuadé l’olibrius de poursuivre l’intimidation), je me suis ouvert une autre binouze, et j’ai remis le morceau interrompu en me jurant d’aller écumer un autre trou.
    Faut quand même pas pousser l’blog trop loin bordel !

  7. BERnard et BERgamote aussi sont entrés en hiBERnation ?
    Eh les BER …, je vous signale que ce n’est pas du tout la saison pour l’hiBERnation !

  8. Ah oui, tiens, j’avais oublié … Quelle aBERration ! Me voila bien enBERlificoté.
    Il me reste 4 mois pour me fendre d’un petit texte et j’espère bien vous héBERluer ! :wink:

  9. Dommage qu’Emilie n’ait pas mis de texte.
    Je n’ai pas compris le sens de son commentaire disant qu’il lui semblait qu’elle gênait quelqu’un sur ce blog. Je suis très sensible à ce genre de situation et je veille à ce que toutes les discussions se fassent dans le respect de l’autre. Mais là je n’ai pas trop compris. Sans doute suis-je passé à côté de certains commentaires.

  10. Ah oui, c’est vrai ça, il n’y a pas que les BER qui n’ont pas écrit de texte. J’avais oublié Emilie. Bon il y a aussi Luc mais là, on a l’habitude :wink:
    Allez Emilie, Bergamote, Bernard … et les autres.
    Un petit effort :whistle:

  11. On va dire que je me suis trompée Bernard toute erreur est humaine!!!!
    Bon je vais essayer de faire profil bas et de faire quelque chose avec tes mots.
    Je vais faire un effort Etincelle promis!!

  12. Oh, y’a pas d’urgence, ce blog devrait rester en ligne jusqu’en septembre au moins …
    Et c’est bien de discuter sans être pressés, non ?

  13. Oui tu as raison mais j’ai terminé et pas facile cette fois ci!!!!

    Peindre la nature avec des mots !
    Des mots suffisamment beaux, pour la décrire sans la trahir.
    Cela me semble facile, mais oh combien cela m’est difficile ! ( surtout avec les mots de Bernard à caser!!)
    Il me faudrait des mots qui aient la couleur du ciel quand il fait beau.
    La couleur du soleil quand il fait chaud.
    Des mots qui sentent bon la terre que l’herbe peint en vert.
    Des mots qui décrivent le vol d’un papillon de la Brenne
    Qui doucement se pose sur une fleur de Freesia couleur tomate.
    Des mots qui peignent les arbres dans chaque robes éphémères,
    Et dénudés quand vient l’hiver.
    Des mots qui décrivent le vent, qui caresse par instant ou guignolesque, taquine en jouant.
    Des mots qui se laissent regarder, admirer, aimer,
    comme le son musical d’une chanson de Bob Dylan, ou de Bob Marley.
    Des mots assez forts pour distinguer toutes les subtilités de ces saisons sans cesse répétées, inchangées, au cours des siècles, des années.
    Des mots suffisamment beaux pour décrire l’horizon ;
    décrire un frisson qui nous vient,
    quand nous voyons au loin ce que nous ne pouvons toucher de la main.
    Des mots pour décrire la paix de cette rivière qui coule sans manière,
    contournant consciencieusement ce que lui imposent les éléments,
    ce que lui imposent ses berges creusées par le temps.
    Révélant ainsi les racines des arbres, abritant un guêpier bourdonnant.
    Des mots qui leurs serviraient de miroir, quand ils se regarderaient dans l’eau, pour se parer de mille joyaux.
    Des mots suffisamment beaux pour décrire les chants d’oiseaux, qui à Texel excellent!
    un poisson qui saute dans l’eau,
    un blaireau qui creuse sont lit,
    un agneau qui nourrit son petit.
    Des mots suffisamment forts pour nous dire combien la montagne resplendit.
    et nous tend les bras pour nous offrir ce qu’elle a,
    elle se montre de loin, ayant peur que nous rations son chemin.
    Des mots qui décriraient la hauteur de ses cimes enneigées,
    de ses pentes verglacées que le soleil fait briller pour mieux nous émerveiller.
    Des mots qui auraient la grandeur de la mer.
    Qui auraient la force de ses vagues quand elle se déchaîne et sa douceur quand elle est sereine.
    Des mots, rien que des mots. Mais des mots si beaux qu’ils nous feraient regarder ce qui est comme un don de bienfait, comme un don d’aimer !

    Ce que je vois ne peut pas être enfermé dans des mots, trop étroits, trop maladroits !
    La botanique est trop vaste, la nature est trop belle.

    Non ; je ne veux plus peindre avec des mots ; il me manque trop de couleurs,
    ça ne serait que de l’hybridation de mots, :angel: et indigne pour une telle réalité.

    Peut être la musique?
    Mais la encore les notes me manqueraient,

    Alors si vous avez une idée?

  14. Waouh ! Emilie, tu t’es surpassée !
    Il me manque une couleur pour te dire à quel point ton texte est beau :smile:
    Et maintenant, les BER vont être bien embêtés pour faire mieux :tongue:

  15. merci Etincelle ça me fait plaisir que tu aimes et ton texte j’ai beaucoup aimé aussi, je te souhaite ce moment de délassement avec ton chéri……. bien mérité!!

  16. Il manquera une couleur rouge :wink: au fameux moment de délassement avec mon chéri tant attendu …
    Le rouge des « sublimes tomates cerises » de Dupdup parce qu’il habite trop loin de chez moi pour pouvoir m’en donner :sad:

  17. Tu peut faire un petit détour par chez nous il est superbe notre village, et il y a surtout des personnes supers!!

  18. Quelles images me viendra-t-il lorsque ce sera le moment de quitter cette bonne vieille terre ? Que me restera-t-il au soir de ma vie ? Le soir de ce dernier guêpier dont on ne ressort pas … !

    Je crois qu’il ne me restera que l’essentiel.

    L’essentiel c’est quoi ?
    L’essentiel c’est ce qui me reviendra en mémoire au dernier jour.

    Ce ne sera pas, j’en suis sûr, ce personnage guignolesque que l’on aura oublié d’ici là.

    Je sais que des images de nature me flotteront dans la tête.
    Des images du hibou des marais rasant la dune de Texel.
    Des images du museau du blaireau apparaissant dans la pénombre de la forêt.
    Des images des papillons de la Brenne voltigeant autour de mon visage.
    Peut-être aurais-je une pensée fugitive pour la botanique que je n’ai pas eu le temps d’apprécier à sa juste valeur. La vie est si courte !

    Je sais que j’aurai de longues pensées pour le travail de la terre qui m’a donné tant de plaisirs.
    J’aurai d’ici là passé la majorité du temps qu’il me reste dans mon jardin, loin du tumulte et des gesticulations de ce monde.
    Peut-être que d’ici là j’aurai réussi une fameuse hybridation de la tomate et que la tomatadupdup sera dans tous les jardins dignes de ce nom ! :wink:

    En ce dernier jour, j’aurai des tas de musiques dans la tête.
    Me reviendront, j’en suis sûr, les variations Goldberg du père Bach, le très musical « Don’t think twice … » du vieux Bob Dylan et les notes du « Pauvre Martin, Pauvre Misère » de Tonton Georges qui viendront clore sans tambours ni trompettes ma vie de jardinier.

    Mais en ce dernier jour, toutes mes pensées seront tournées vers ceux que j’ai aimés. Et par dessus tout : vers ma Belle.
    Mais ça, ça ne se raconte pas !

    LA VIE N’EST RIEN SANS AMOUR.

  19. Ça commence par l’amor et ça finit par l’amour… Joli clin d’œil à la vie !

  20. Oh ! Quel texte Bernard ! Magnifique ! :wub:
    Sans aucun doute un des plus beaux de tous nos « A vos plumes ».
    En tout cas, tu es doué pour faire des déclarations d’amour à ta Belle …
    Qui rime avec Joëlle il me semble :wink:

  21. Je viens de jeter de nouveau un oeil sur les « A vos plumes « .
    Quel régal ! Je ne remercierai jamais assez Brind’paille d’avoir lancé cette idée.
    Et, du coup, je suis « retombée » sur cette phrase de Bernard :
    « Oh, y’a pas d’urgence, ce blog devrait rester en ligne jusqu’en septembre au moins »
    Il me fait flipper ce type ! (Je parle de toi Bernard, là).
    Dis, Bernard, Déconnes pas.
    Que tu arrêtes ton blog, pourquoi pas, c’est bien ton droit …
    Tu nous as déjà beaucoup donné. Merci, merci, merciiiiiiiiiiiiiii …
    Mais que tu le retires du net, alors là, non, je dis non et mille fois non.
    Oui, je sais, je n’ai sans doute pas droit à la parole en la matière mais quand même, si par hasard, nous avons « 5 minutes à perdre » (comme c’est nul cette expression, il faudrait justement dire 5 minutes à savourer), ce serait un tel plaisir de retourner lire quelques pages de ton blog.
    Perso, et je suis sûre de ne pas être la seule, j’aime de temps en temps relire un article et tous ses commentaires. Et … Je me régale !

  22. La ber des ber, si je comprends bien!!!

    Ces petits ateliers d’écriture vont me manquer!

    Nous avons découvert une nouvelle espèce:
    Le blaireaupipaillon. Il s’agit d’une hybridation naturelle entre le blaireau et le papillon de la Brenne.
    Je vous laisse imaginer le choc quand nous l’avons découvert pendant notre voyage dans l’île de Texel !
    Nous étions venus pour étudier la botanique et la faune de l’île, nous n’avons pas été déçu !!

    Il s’agit d’un blaireau beaucoup plus petit que la moyenne, mais sans griffe avec un pelage très lumineux et surtout des ailes irisées noires et blanches au niveau des flancs.
    A la place des ses oreilles, il y a des petites antennes … Quand il vole, des vapeurs colorées s’échappent de lui à chaque battement d’ailes …
    Il se nourrit uniquement de tomateadupdup.

    Bref, c’est une bestiole peu conventionnelle et un brin guignolesque mais qui a du charme …
    Autre découverte majeure, le blaireaupipaillon est un grand mélomane.
    Alors que nous faisions un interlude musical en écoutant du Bob Dylan, un spécimen s’est approché de nous discrètement et nous avons pu l’observer à loisir. Manque de chance, plus de batterie sur l’appareil photo, donc nous avons fait un croquis.

    En rentrant le soir à l’auberge, nous avons téléphoné à notre maître de conférence pour lui raconter l’affaire … Il nous a demandé, en rigolant, si nous voulions choisir ce thème pour une conférence future, et bien sûr, nous avons accepté ! Pour les grands naturalistes que nous sommes, c’est une histoire en or !

    Le lendemain, dégrisés et sceptiques, avec un sacré mal de tête, nous reprenons malgré tout le même chemin que la veille, batterie d’appareil photo chargée à bloc, avec notre poste et Bob Dylan pour appâter l’animal.
    Bref, comme vous vous en doutez, nous n’avons jamais revu le blaireaupipaillon … A la place, un simple blaireau est apparu … Nous l’avons trouvé d’un fade !

    Quoiqu’il en soit, nous nous sommes quand même mis dans un sacré guêpier car nous devons présenter le blaireaupipaillon pour une conférence dans un mois …
    Nous allons passer pour des… blaireaux.

  23. Ah quand même !
    Il t’en aura fallu du temps pour le pondre ce texte là.
    Faut dire aussi … un blaireaupipaillon ! :biggrin:
    Ou alors, c’était une ruse pour être sûre de bien écrire la ber des ber :wink:

  24. Je voulais remercier Étincelle pour le recueil des petits ateliers d’écriture cela m’a beaucoup touché et je trouve cette idée excellente, cela m’a donner l’ occasion de relire posément tous les poèmes et histoires de chacun.
    Encore merci Étincelle.

  25. Qui m’a donc entraînée dans ce guêpier ? Un blaireau guignolesque infusé dans du Guignolet-Kirsch? Un fanatique de Bob Dylan, éleveur de tomate qui à ses heures perdues se lance dans l’hybridation ? Un habitué des voyages septentrionaux à Texel?
    On y trouve de tout dans ce lieu de perdition numérique: mélange musical, devinette botanique, recette du kéfir, zoziaux en tous genres et même les papillons de la Brenne !
    Je m’souviens: de pérégrinations en pérégrinations, à la recherche de belles images d’oiseaux des bords de mer, j’ai échoué sur ce blog et depuis je viens régulièrement m’y perdre. Il me semble qu’un passage par « Nature passion « n’est pas étranger à cette halte…

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