Le lézard des souches

ATTENTION, ATTENTION ! C’est en toute bonne foi que j’ai écrit un article sur le lézard des souches. En fait, je sais maintenant, grâce à Alexandre, qu’il s’agit du lézard vert. J’éliminerai cet article dans les temps qui viennent et le reprendrai sous une autre forme. En attendant, je préfère laisser en ligne l’article complet, bien qu’entaché d’erreur, car les commentaires continuent et permettent de discuter sur les différences entre les deux espèces.

C’était il y a presque un mois en Auvergne dans le petit village de Creste, pas très loin de Saint-Nectaire. Un promontoire rocheux domine le village.

P1070141On accède au sommet de ce promontoire rocheux par une superbe petite chapelle.

P1070138Arrivé en haut, on ne peut qu’être séduit par la beauté du paysage d’Auvergne.

P1070202Le lieu est réputé pour l’observation de la migration des oiseaux.
Il est vrai que depuis le sommet, on a une vue à 360 degrés !

P1070151 P1070157Quelques heures d’observation nous ont permis d’observer notamment le faucon hobereau, le busard des roseaux, la bondrée apivore et le balbuzard pêcheur.

Mais ce n’est pas d’oiseaux dont je veux vous parler aujourd’hui mais d’un lézard : le lézard des souches.

Il faut dire que le site est une mélange de buissons, de grandes herbes et de rochers propices à cette espèce.

P1070207(ces 6 premières photos sont de Joëlle)

Pendant plus d’une demie-heure, nous avons joué à cache-cache avec un superbe mâle.

IMGP4404 IMGP4421Il était très près de nous, assez peu farouche mais il y avait toujours de petites branches ou de grandes herbes entre lui et nous.

IMGP4434 IMGP4440Les insectes qui sont fort abondants dans ce type de milieu (notamment criquets et sauterelles) constituent la base de l’alimentation du lézard des souches.

IMGP4389D’autres prédateurs s’en nourrissent également.

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En redescendant du promontoire, alors j’étais un peu à la traîne du groupe (quelqu’un avait dû crier « apéro » car mes collègues étaient redescendus très rapidement), j’ai aperçu une femelle de lézard sur le rebord d’un rocher. L’approche fut cette fois-ci beaucoup plus facile.

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Un mâle était à quelques mètres de là (il semblerait que cette espèce soit très sociable et qu’elle établisse de petites colonies).

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On l’appelle aussi lézard agile et son nom latin est d’ailleurs Lacerta agilis. Mais ce nom ne lui convient pas car il n’est pas très agile et il est même plutôt lent et maladroit, comparé aux autres espèces de lézards. Continuons donc de l’appeler Lézard des souches. Ce lézard aime d’ailleurs la proximité des vieilles souches d’arbres qui lui procurent abri (sous la souche) et chaleur (sur la souche exposée au soleil). Les blocs de pierre lui conviennent bien aussi.

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La vie sexuelle du lézard des souches n’est pas de tout repos si j’en juge par ce que j’ai lu ça et là (nombreuses bagarres entre mâles au printemps) et par le fait que la femelle peut pondre … trois fois dans la saison (si la température le permet).

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Je me suis rendu compte que je connaissais très mal ce lézard. Cette lacune est maintenant un peu comblée. Il ne me reste plus qu’à le rechercher dans ma région. La recherche sera d’autant plus motivante que cet animal est vraiment magnifique !

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J’aurais pu rester longtemps avec cette femelle de lézard. Nous étions tous deux dans la posture dite « Cahuzac » (« les yeux dans les yeux, je vous l’jure ! »).

IMGP4578Mais bon, j’entendais en permanence quelques rires en contrebas et je craignais fort qu’il ne reste plus d’apéro !

71 réflexions au sujet de “Le lézard des souches”

  1. En présence de la femelle, « l’approche fut cette fois-ci beaucoup plus facile ».
    On voit que Bernard a l’habitude ! :lol:
    Quelle est la taille de ce beau lézard ? Dans mon jardin, il y a des lézards verts et aussi des petits lézards mais pas celui-là. D’après mon guide des amphibiens, il serait présent dans ma région. Il se rapproche du lézard vert au niveau de la taille ?
    En tout cas, il est bien mimi :smile:
    Surtout la femelle quand elle fait les yeux doux à Bernard :wink:

  2. Oui, oui, c’est bien celui là : Guide des amphibiens et reptiles d’Europe de Matz et Weber.
    Mais tu n’as pas répondu à ma question. Ton joli lézard des souches est gros comme un lézard vert ou plus petit ?

  3. j’ai des lézards assez près de la maison que je croyais être des lézards verts, en fait il s’agirait + probablement du lézard des souches si j’en juge par la petite taille et par les photos vues ci-dessus.

  4. Ce n’est pas vraiment la répartition qui est donnée sur le guide :wassat:
    D’après cette carte, il n’est pas présent vers chez moi et d’après le guide, si.
    En tout cas, je ne l’ai jamais vu.
    Il n’y a que le lézard vert dans mon jardin.
    Mais il ne fait pas les yeux doux aussi bien :sad: :whistle: :w00t:

  5. Sur le guide des amphibiens …, c’est difficile de voir exactement car c’est une carte (petite) de toute l’Europe et les départements ne sont évidemment pas matérialisés. Cependant, la présence descend plus vers le sud, jusqu’à la méditerranée, par rapport à la carte du lien que tu as donné. Sinon, pour le nord de la France, c’est à peu près pareil à part une pointe plus avancée en direction de la Bretagne, sans toutefois l’atteindre.
    Mais, tu ne l’as pas ce guide ?

  6. Reptile ou amphibien, moi, je m’en fiche, pourvu qu’il se transforme en prince charmant :wub:
    Euh ! Il faut d’abord l’embrasser sur la bouche :sick:

  7. La situation du Lézard des souches dans la Drôme est précisée dans ce document :
    http://files.biolovision.net/www.faune-drome.org/pdffiles/news/Pre-atlas-opti-7658.pdf
    Il semble que la bête n’y existe pas, sauf si des données récentes (atlas des amphibiens et reptiles de 2012) prouvent le contraire.
    Et en regardant la carte de l’atlas, j’y vois une présence avérée dans plein de mailles : Beaurepaire, Romans, Charpey, Die, Dieulefit, La Chapelle en Vercors, Serrières, Tournons, Valence, Crest, Montélimar, Valréas.

    De quoi y perdre son latin : soit des prospections récentes ont permis de trouver l’espèce en de nombreux sites (cela est possible vu la discrétion et l’habitat de ce lézard), soit les données anciennes suspectes n’ont pas été éliminées (ce qui me surprendrait et me décevrait vu la tendance au sérieux de ce genre d’ouvrage).

    Etincelle, avec la liste des observateurs fournie dans le premier lien, y a t-il une chance d’obtenir une explication sur cette situation particulière : en effet , à part la Drôme et sûrement de très rares autres points (mailles 1/50000 IGN en fait), la carte présentée par Bernard est très semblable à celle de l’atlas…

  8. Tiens tiens, dans quel ouvrage le prolifique Alexandre Dumas fait-il cette confusion ?
    Et secondairement, ne s’agit-il pas des amphibiens dans une acception ancienne du terme, comprenant toutes les bestioles vertébrées à peau froide ?
    Ne connaissant en rien les capacités du père Dumas en naturalisme…

  9. Non non, il s’agit bien du mot « reptile » utilisé pour le crapaud. C’est dans le roman « la femme au collier de velours » (que j’ai tout juste fini hier soir)

  10. Désolée Christophe …
    J’ai lancé le chargement de l’Atlas il y a 20 minutes mais le fichier doit être trop lourd parce que j’attends toujours.
    Comme je vous l’ai déjà dit, j’ai un réseau très très lent chez moi (Hier, j’ai chargé 50 photos sur le site de Girafoto pour faire un livre sur les Dolomites, cela m’a pris … 8 h !!!! :angry: )

  11. Suspense insoutenable !
    On s’habitue vite au luxe : il y a quelques années, avant la révolution internet, on trouvait normal d’attendre 8 jours voire 8 mois pour obtenir une réponse de moins bonne qualité.
    8 secondes chez moi, ce monde va vite, trop vite.

  12. Jamais croisé de lézards aussi gros !! c’est magnifique ! ( j’en ai dans le jardin mais des petits tout gris là ) ..c’est le lézard de luxe là !

  13. « De quoi y perdre son latin : soit des prospections récentes ont permis de trouver l’espèce en de nombreux sites (cela est possible vu la discrétion et l’habitat de ce lézard), soit les données anciennes suspectes n’ont pas été éliminées … »
    Peut-être existe-t-il des régions vides de certaines espèces… parce que vides d’observateurs qualifiés ! :silly:
    Avant Bernard, la Haute-Saône était un désert ornithologique … ! (J.Y.C. dixit en 1980 ! ) :smile:

  14. Très juste remarque.
    C’est pour cette raison, par exemple, qu’une carte présentant la pression d’observation figure dans ce genre d’ouvrage, ou que la liste des oiseaux de Texel est impressionnante : en dehors du fait que la situation de cette île et sa gestion favorisent de nombreux oiseaux, il y a peu de chance qu’ils passent inaperçus. Mais il existe effectivement des déserts naturalistes.

  15. Je viens de voir sur le site de la LPO Rhône-Alpes qu’un groupe fait le suivi d’espèces rares dont le lézard des souches.
    Ce qui pourrait expliquer les observations récentes dans la Drôme.
    Peux-t-on se procurer cet atlas ? A la LPO ?

  16. Oui, Fifi, j’ai sûrement mal écrit « peut-t-on ».
    Je ne sais jamais avec ces traits d’union et ces apostrophes … :angry:
    Il faudrait que je retourne à l’école …
    Mais pas sûr qu’on m’apprendrait ça ! :whistle:
    Bon, alors, cécomentkeça s’écrit ? :lol:

  17. Je peux, tu peux, il peuT… ou je puis, tu peux, il peuT. :cool:
    Pas utile de rajouter un t dans la forme interrogative, il y en a déjà un… :tongue:
    errare humanum est et tout ça… :silly:
    Yves est un petit malin ! :lol:

  18. Les gros plans ne peuvent qu’être très beaux, c’est le détail des écailles qui est sublime en soi.
    Le photographe n’y est pour rien, il ne peut que montrer ce qui est, ni plus ni moins. :wink:

  19. Bonjour,
    les informations sur le Lézard des souches sont intéressantes, mais vous êtes tombé dans un piège bien classique: les lézards que vous avez photographiés au village de Creste sont des Lézard vert (Lacerta bilineata), en l’occurence une femelle adulte (verte) et un immature ‘(brun).
    Cordialement, Alexandre

  20. Qui est-ce qui disait qu’on doit se méfier des déterminations jusqu’à l’espèce ? :whistle: :wink:

  21. En tous les cas, merci à Alexandre d’avoir fait remarquer l’erreur;

    Je pense que je vais éliminer cet article dans les semaines qui viennent et en refaire un. Je ne vois pas d’autre solution. Vous en pensez quoi ?

  22. Comme on dit chez moi, post scripsit, omne animal triste… :silly:

    Tu peux un peu l’arranger comme si de rien n’était. Ton public t’est tout acquis !
    :smile:

  23. Tu changes le titre de l’article : « Mais où est donc passé Le lézard des souches ?  »
    :unsure:
    Non , je crois que tu ferais bien de le supprimer avant qu’il ne soit répertorié en bonne place dans les moteurs de recherche ( Google , ASK …. ) … Ce qui doit déjà être fait vu le succès de ton blog . Autrement , tu n’as pas fini de recevoir des commentaires d’erreurs d’herpétologistes comme Alexandre qui vont cliquer sur tes images .
    :wink:

  24. Comme Yves, je pense que le mieux serait de supprimer cet article.
    On ne t’en voudra pas.
    Tu peux toujours ensuite écrire un article sur le lézard vert qui sera forcément intéressant car même moi qui ait des lézards verts dans mon jardin, je n’avais jamais vu d’immature de couleur marron (Je ne savais d’ailleurs même pas que les immatures étaient de cette couleur).
    Et puis tes photos sont tellement belles qu’il serait dommage qu’elles disparaissent du blogadupdup. :smile:
    A tout hasard … J’ai une photo d’un lézard vert en train de muer, si ça t’intéresse.

  25. Le pire, c’est que j’ai élevé des lézards verts pendant trois ans et que là je ne reconnais pas les immatures ! :angry:

  26. Principe de précaution oblige : supprime le blog en entier. Et du coup s’il y a d’autres erreurs elles disparaitront.
    Si je supprimais toutes les erreurs que j’ai faites ma vie serait bien courte. Serait-elle seulement ?
    En tout cas, moi je n’ai rien dit, mais j’avais bien vu qu’il y avait un lézard !!!

  27. C’est vrai qu’en lisant les descriptions sur le guide des amphibiens …, on comprend bien qu’ici, ce n’est pas le lézard des souches, mais franchement, il y a de quoi se tromper ! :cwy:
    Par contre, je pensais que le lézard vert était Lacerta viridis or Alexandre parle de Lacerta bilineata.
    Sur Wikipédia, on trouve :
    « Cette espèce a été décrite sous son nom actuel Lacerta bilineata puis considérée comme synonyme de Lacertus viridis. Cette synonymie est levée par Rykena en 1991. Elle est ensuite considérée comme une sous-espèce de Lacerta viridis, avant d’être rétablie comme espèce de plein rang par Amann et al. en 1997. »
    Bon, voilà que je n’y comprends plus rien …
    Le lézard vert de mon jardin, c’est viridis ? Bilineata ? Ou les deux à la fois ? :wassat:

  28. Mais de quelle souche de lézard vert parlez-vous ? Celle qui ressemble au lézard des souches vert ?

  29. Quelques précisions:
    1- tous les immatures de lézard vert ne sont pas brun, la plupart ont même du vert de façon plus ou moins étendue et cela dès la naissance. En outre une coloration uniquement brune est plus fréquente chez les jeunes femelles. Enfin les taches dorsales et latérales, qui le font ressembler au Lézard des souches, ne sont pas toujours aussi marquées ni même présentes. Bref l’évolution ontogénique de l’ornementation est importante chez cette espèce qui présente par ailleurs un certain polymorphisme.

    2- Depuis 1997, comme le note Wikipédia, et pour le dire autrement, il existe aujourd’hui 2 espèces séparée de « Lézard vert »: Le Lézard vert occidental (Lacerta bilineata) seul présent en France et le lézard vert oriental (Lacerta viridis) présent en Europe orientale (à partir de l’Allemagne).
    3 – Les photos de Bernard sont superbes et celles de l’immature illustrerait bien (sous sa signature bien sûr) un article que je rédige justement sur les confusions possibles en Auvergne chez les reptiles et amphibiens…Un prêt serait-il possible?

  30. Merci Alexandre pour ces précisions !
    Maintenant, je sais que celui qui est dans mon jardin est Lacerta bilineata :biggrin:
    Qu’est-ce qu’on en apprend sur le blogadupdup :biggrin:

  31. Merci Alexandre pour toutes ces précisions très fouillées. Je t’envoie un mail ce week-end (en tant qu’administrateur du blog, j’ai ton adresse) avec les photos que tu désires. Merci de me donner le numéro d’ordre des photos, je les enverrai en bonne définition.

  32. Quand l’erreur amène à de plus précisions et illustre le vrai, alors je dis que l’erreur est juste est qu’il serait dommage de s’en priver.
    Blague à part, je ne m’y connais pas comme vous (pour moi « c’est des lézards »…) mais cet article est très pédagogique. Il illustre bien pour les néophytes comme moi comment on peut les uns aidés des autres aller vers une bonne identification. Ainsi que la modestie et la prudence nécessaire à cet exercice.
    Ou bien encore. Il vaut mieux dire les choses et éventuellement être corrigé si l’on se trompe que de se taire et rester dans l’erreur.

  33. On ne sait jamais au prochain contrôle d’identité « on  » te prendra peut-être pour un autre….. bon, ça peut finir en garde à vue….. « Mais, Monsieur l’agent, moi c’est le lézard vert… »

  34. « Quand même trois erreurs d’identification depuis la création du blog » nous dit Bernard.
    Ce qu’il ne nous dit pas, c’est que son blog ayant été crée depuis quelques années déjà, c’est pas si terrible que ça d’avoir fait trois erreurs. Qui n’en fait pas ? :whistle:
    Mais … Parce qu’il y a un MAIS …
    Deux de ces erreurs ont été faites dans le mois qui vient de s’écouler :angry:
    Un coup de vieux ? :tongue:
    Augmentation de la consommation de bière ? :shocked:
    Faut se ressaisir, là ! :w00t:

  35. Le pire, c’est qu’il y a bien meilleurs naturalistes que moi qui viennent sur ce blog et qu’ils n’y ont vu que du feu … (sauf Alexandre, bien sûr).

  36. J’ai rajouté un texte en gras en début de mon article. Je préfère procéder ainsi et éliminer l’article plus tard lorsque la discussion sera terminée.

  37. Je dis ça , comme tu as beaucoup voyagé dans toute la France avec ton appareil photo … Ne sait-on jamais ! Clic clac un lézard vert … Et non , de magnifiques ocelles sur les flancs , c’est un …. !!
    Bon ben , tant pis … Ce sera pour un prochain séjour au pays du lézard des souches . Et je suis sûr que ce sera un petit challenge pour toi de découvrir la bête , et de rebondir avec un bel article pour partager avec nous .
    :wink:

  38. Il n’y pas si longtemps, j’ai passé quelques longues minutes à observer un Hibou des marais qui dormait au pied d’un saule. L’oiseau avait été vu volant et retrouvé après une longue recherche. J’attendais comme les autres observateurs présents qu’il bouge un peu, puis nous nous sommes approchés, au point de voir qu’il avait disparu.
    Revenus au point de départ on l’a retrouve notre hibou : c’était une construction de nos cerveaux réalisée avec des herbes sèches, quelques écorces…
    J’ai déjà confondu de nombreux sacs plastiques avec des oiseaux de diverses espèces, et pire, à chaque fois que je passe sur une certaine départementale proche de chez moi, je remarque cette hirondelle rustique perchée été comme hiver sur le même câble électrique ; et c’est toujours la même raccord bricolé, sans doute par un ornithologue blagueur. :smile:
    Alors confondre un lézard avec un lézard… Encore une fois, je me suis fait avoir et c’est tout de même un peu énervant. :angry:
    J’espère ne jamais voir le jour où je ne reconnaîtrai pas mes enfants ! :pinch:

  39. Tu es sûr de ne pas avoir confondu avec une autre espèce de lézard ? (lézard vert par exemple) :whistle: :tongue: :devil:

  40. Je compte acheter les mêmes semelles pour mes crapahuts en montagne.
    Seul problème : trouver un gecko, pouvoir communiquer avec lui pour obtenir l’adresse de son magasin.

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