La plupart du temps, l’abeille charpentière (que l’on appelle aussi Xylocope) nous apparaît seulement comme un gros insecte noirâtre.
Mais que les ailes se trouvent, ne serait-ce que l’espace d’un instant, dans un certain angle par rapport au soleil, apparaît alors devant nos yeux un véritable bijou dont nous ne soupçonnions même pas l’existence.
Il en est ainsi de beaucoup de choses de la vie : changer d’angle de vue nous oblige à voir les choses différemment.
Dur à dire sur un blog qui prône l’échange, mais le silence peut être un magnifique point de vue…
Le silence est sans doute la chose la plus nécessaire dans notre société d’aujourd’hui.
Ces deux photos nous rappellent aussi que sous la noirceur se cache parfois une belle lumière et qu’il ne faut donc pas se fier aux apparences pour porter un jugement
Moi j’ai un peu la phobie des insectes, mais ils me fascinent. Les couleurs, les gros yeux sur les ailes de papillons pour effrayer d’éventuels prédateurs, leur apparence qui semblent ancestrale et surtout par leurs « mœurs ».
Pour les différents angles de vue je change les meubles de place de temps en temps et intérieurement comme je n’ai pas les idées arrêtées ça se fait tout seul
Belle illustration de cette nécessité de changer notre regard, notre point de vue : l’abeille charpentière (pas si facile que ça à saisir, c’est souvent un bolide) elle-même, avec ses yeux composés, reçoit un nombre impressionnant de facettes de la même scène, et elle en compose une nouvelle image.
Cette vision des choses, selon que l’on passe, que l’on attende, qu’on lève les yeux, qu’on cherche ou qu’on laisse venir, qu’on entende ou prête ses autres sens à l’exercice, permet de saisir des choses incroyables ou de les ignorer.
L’essentiel il me semble, est paradoxal : changer de point de vue pour ne jamais en avoir un. :blink:
non, il est exhaustif c’est tout :biggrin: :biggrin:
Belle grosse bèbète, paraitrait qu’on en voit en Belgique… :getlost:
Sinon, rien à voir, avant je tapais « dupdup » dans gouguel et je tombais directement sur le blog, maitenant faut se battre pour le trouver, normal?
Encore un coup des terroristes ! :angry:
Non, plus sérieusement, je ne sais pas …
Quand les mal-logés se logent mieux et échappent aux banques avec l’appui des propriétaires, ne devons-nous pas changer aussi d’angle de vue ?
Les politiques d’avenir se trouvent peut-être chez ces humains qui papillonnent, ces victimes qui se métamorphosent et nous font rêver à de nouveaux cocons, si tant est que les politiques rétrogrades ne nous achèvent pas avant.
http://www.bastamag.net/Quand-des-mal-loges-renovent
Belles initiatives.
Dans mon village, il y a au moins une dizaine de maisons vides de tout locataire (mais qui, pour certaines d’entre elles, nécessiteraient d’énormes moyens financiers pour les remettre en état). Il me semble que ce problème existe dans toutes les campagnes mais également en ville.
« Changer de regard, seulement de regard, tout le reste suivra et même nous précédera… »
(Môrice Benin)