Jimi Hendrix à Monterey

En 1967, le festival de Monterey fut le premier grand festival pop. Il précéda ceux de Woodstock (1969) et de l’île de Wight (1970). Ce festival fut le moment de la consécration pour Jimi Hendrix. Il n’était jusque-là qu’un musicien culte dans certains cercles rock mais restait plutôt inconnu du grand public. Le 18 juin 1967, Hendrix arrivait donc sur scène pour un concert historique.

Voici dans l’ordre les 9 morceaux qui furent joués ce soir-là :

Killing Floor
https://www.youtube.com/watch?v=DLGctGhAWU4

Foxy Lady
https://www.youtube.com/watch?v=MQXE3UYWN90

Like A Rolling Stone
https://www.youtube.com/watch?v=v5J59xew4KI

Rock Me Baby
https://www.youtube.com/watch?v=aCaV_1yfLHg

Hey Joe
https://www.youtube.com/watch?v=vi3O8Um2VEY

Can You See Me
https://www.youtube.com/watch?v=2LuQSVNJBBY

The Wind Cries Mary
https://www.youtube.com/watch?v=iqvU5CVHHmk

Purple Haze
https://www.youtube.com/watch?v=JhI6EImeY_s

Wild Thing
https://www.youtube.com/watch?v=Wy78gaHLPVs

Bon week-end électrique à tous !

11 réflexions au sujet de “Jimi Hendrix à Monterey”

  1. Ce petit morceau est pas mal balancé non plus non ?!! Allez Jimi …be good … :whistle:

  2. Ahhhhhhhhh ! Jimi !
    J’ai cherché le bar où il jouait à Seattle avant d’être connu mais je ne suis pas sûre d’avoir trouvé le bon. A cause (ou grâce) à Jimi Hendrix, la ville de Seattle, en plus des Boeing est la ville de la musique avec une Cité de la Musique et plein d’immenses et impressionnants magasins de guitares un peu partout.

  3. Jérôme, je ne savais pas qu’Hendrix avait enregistré Johnny B. Goode. Mais il y a tellement d’albums posthumes et de bootlegs (bien plus que d’albums sortis du temps de son vivant) qu’on s’y perd un peu dans la discographie.

  4. On peut encore en rester coi aujourd’hui de cette façon qu’il a eu de survoler les frontières, les genres, les classements, les ethnies…Quelle histoire! Un petit flash-back qui nous fait du bien, encore maintenant.
    Et dire qu’il débarque, lui noir de peau et un peu indien, venant des U.S.A., patrie du blues, du rockabilly, du jazz et de la soul music, en Grande Bretagne ou il rencontre deux anglais pur sang, avec tâches de rousseurs (Mitch Michell et Noêl Redding).
    Qu’une immédiate alchimie se produit, et qu’ ils se lancent dans l’excellente Jimi Hendrix Experience, soutenus par l’Animal Chas Chandler, apportant d’emblée un souffle nouveau à toute la pop.
    Ouvert et sans à priori il a interprété Chuck Berry, comme on vient de dire, et aussi Les Troggs (Wild Thing), les Beattles ( Day Tripper, Sergent Pepper ), Dylan bien sûr, Billy Roberts (Hey Joe ) -que chante aussi le pittoresque Willy Deville-, et aussi bien sûr des grands bluesmens (Muddy Waters, Howlin’Wolf, Willie Dixon …) et surtout ses propres créations, musicales, et d’écriture très poétique.
    Expression d’une époque ou toutes limites et catégories humaines semblaient promises à se dissoudre .Pour lui, en tout cas, c’était fait, sans se couper de sa plus profonde racine, le blues, et de sa propre inspiration.
    Un petit sourire:
    un de ses grands disciples et admirateurs américains, Popa Chubby, arrive quand il le veut, à l’imiter à la perfection, par son jeu de guitare. Mais ce musicien a une caractéristique personnelle il est extrêmement obèse. J’ai lu dans le commentaire d’une de ses insoupçonnables imitations, sur le net, par un auditeur américain la pensée suivante: Hendrix n’est pas mort il a été avalé (« swallowed »)……

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