Bières artisanales (2)

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Longtemps, longtemps après mon premier article, un tout petit texte consacré aux bières bretonnes de la brasserie Britt.

Je me rappelle avoir bu pour la première fois une Britt lors de ma première rencontre avec Yves à la terrasse d’un café breton. Et Yves avait écrit plus tard sur ce blog que c’était sa bière préférée.

Je reviens donc de Bretagne avec – entre autres – une belle petite panoplie de bières Britt à déguster.

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Et me vient spontanément ce vieux proverbe breton (que vous ne connaissez pas, évidemment, puisque je l’invente à l’instant) :
« Quand il pleut, les goélands s’abritent dans les rochers et les Bretons ça Britt dans les bars ».

Voilà, c’était juste un petit clin d’oeil à Yves, à Yann et aux quelques Bretons que j’ai la chance de connaître.

25 réflexions au sujet de “Bières artisanales (2)”

  1. ça pourrait être un très bon slogan pour une publicité de cette bière!!
    En tout cas, bravo pour le jeu de mots!! tu es toujours très en forme dès le matin, toi!
    moi il me faut au moins trois tasses de thé bien tassé pour sortir enfin du brouillard!!

  2. J’ai une petite variante à mon proverbe (qui correspond plus à la réalité de ce que j’ai observé sur le terrain) :
    « Quand il pleut, les goélands s’abritent dans les rochers et les Bretons ça Britt dans les bars. Quand il fait beau aussi d’ailleurs ! ».

  3. D’ailleurs, il fait toujours beau en Bretagne !! J’y suis allée qques fois , et chaque fois, j’ai eu du beau temps, un peu de pluie fine, juste pour faire apprécier le soleil et ne pas être tributaire d’arrosages fastidieux quand on aime, comme moi, les hydréangéas (hortensias) de toute sortes. J’ai un Vilosa rapporté il y a une dizaine d’années que je bichonne et qui me le rend bien…..
    chacun sa définition du beau temps ; Il est vrai que ces temps-ci, la pluie l’emporte….. pas seulement en Bretagne.

  4. La semaine dernière, lorsque nous sommes arrivés en Bretagne au cap Fréhel, les gens arrosaient leur jardin tellement c’était sec. Pendant la semaine il n’a pas plu mais il y a eu deux jours de « brume de mer ». La pluie est arrivée quand nous sommes partis et, visiblement, nous l’avons ramenée en Franche-Comté (qui n’en avait pas besoin !). :angry:
    On a fait une bonne douzaine de séjours en Bretagne et, globalement, on a eu de très beaux temps.
    En plus, c’est bien connu et les Bretons le disent eux-mêmes : « En Bretagne, il ne pleut que sur les cons ! »

  5. Conclusion, nous n’en faisons pas partie!!!!!?? A propos de tes si jolies tomates, elles sont sous serre pour être aussi en avance ?

  8. Il me semblait qu’elles étaient dehors, vu les gouttes de pluie, mais je n’étais pas sûre…..
    J’étais en Franche Comté la semaine dernière, mes frères venaient juste de les planter sous serre. Alors, qd je leur ai parlé des tomates à Dupdup, ils étaient… étonnés, voire sceptiques. Mais j’ai cru comprendre, en visitant les Pins noirs, que toutes ces belles récoltes, ce savoir faire n’étaient pas le fruit du hasard…. Ta vie professionnelle et la passion aidant, tu récoltes ce que tu a semé !!

  12. Par association d’idées, ça me fait penser à ce qui se dit ici, à savoir que « le mois de juillet est le mois le plus froid de l’année dans le Haut-Jura parce que c’est le seul mois où il n’y a pas de chauffage dans les maisons. »

  13. En général, je suis très peu amateur de bières aux fruits, genre kriek.
    Mais je dois dire que la Britt rosée (la 5ème sur ma photo), qui incorpore des fraises de Plougastel, est très bonne à l’apéro et je vous la recommande :wub:
    Mais, évidemment, comme rien n’est parfait en ce bas-monde, elle ne fait que 3°C ! :angry:

  14. Promis, la prochaine fois que je vais chez ma maman, je fais le déplacement . Il est vrai que chaque fois que je « monte » dans le Doubs, j’évite d’aller à droite à gauche, Maman aura 96 ans en septembre, et n’est pas en super forme, donc je passe un max avec elle…..,
    Pour ce qui est du chauffage, nous venons juste d’arrêter les dalles chauffantes. Heureusement, nous avons un poêle à bois, pour de probables soirées humides.

  15. Oui, je sais, les puristes vont crier au scandale si je parle de la Leffe (surtout mes amis Belges …).

    Mais je pense que la série des trois bières très houblonnées que l’on trouve depuis peu de temps en supermarché vaut vraiment le coup (pas pour les consommateurs courants mais pour ceux – pas très nombreux ici en France – qui aiment l’amertume des bières houblonnées).

    Voici ces trois bières que je trouve dans le magasin à côté de chez moi. Je les trouve très bonnes :

    http://maltsethoublons.com/wp-content/uploads/2016/04/LEFFE_ROYALE-CRYSTAL-75CL-Pack-33CL.jpg

    http://www.lsa-conso.fr/mediatheque/7/5/8/000163857_5.jpg

    https://img.saveur-biere.com/img/p/6988-13981-thickbox.jpg

  16. Qui postule?

    Un musée américain recrute un testeur de bière pour 64 650 dollars par an 17/27
    L’Express

    Alors que la journée mondiale de la bière aura lieu le 5 août, le musée national d’histoire américaine de Washington propose un job qui devrait en faire rêver plus d’un: boire de la bière tout en traversant les Etats-Unis pour un salaire de 60 000 euros par an.
    Le musée national d’histoire américaine recrute un spécialiste pour boire de la bière dans tous les Etats-Unis

    Il est temps de rafraîchir vos CV et de préparer une belle lettre de motivation au Smithonian, le musée d’histoire américaine de Washington, qui recherche activement un testeur de bière aguerri. Si l’intitulé du poste ressemble à une blague, l’offre est pourtant tout ce qu’il y a de plus sérieuse.

    Recherche un historien de la bière

    Afin de faire découvrir ce breuvage préparé à base de houblon ainsi que ses producteurs, le musée de Washington ne compte pas sélectionner le premier pilier de comptoir venu, mais un véritable historien spécialisé dans la bière. Le candidat sélectionné devra rédiger des articles et effectuer des recherches pour les archives du département de l’histoire et de la nourriture du musée, en plus de boire de nombreuses bières artisanales américaines.

    Pour un salaire de 64 650 dollars annuel, soit un peu moins de 60 000 euros, le musée recherche la perle rare: le candidat devra être diplômé en histoire et en commerce, capable d’écrire des articles pour les spécialistes mais aussi pour un lectorat plus large, sans oublier une expérience des entretiens oraux.

    Record de candidatures au musée

    L’offre du musée a tellement motivé les amoureux de la bière que le nombre de candidatures a mis hors service la section « Emplois » du site du musée d’histoire américaine. Interrogée par l’AFP, la direction du musée s’est dite « amusée par l’engouement du public » ajoutant que le poste était « très sérieux ».

    Si par chance vous correspondez au profil demandé, vous avez jusqu’au 10 août pour envoyer votre candidature sur l’adresse mail du musée.

  24. Oui, mais c’est en montagne et ça coûte cher. Il faut le remonte-pente pour arriver au bar et je crois qu’il le faut aussi pour en repartir ! :sick:

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