Dur dur la culture du potiron !

C’est quoi le plus dur dans la culture des potirons ?


Choisir les variétés dans la multitude qui nous est proposée ?
Réussir ses semis ?
Amener du fumier pour enrichir suffisamment son terrain ?
Travailler la terre ?
Lutter contre l’oïdium qui s’en prend au feuillage des cucurbitacées ?
Se casser le dos à récolter les fruits ?
Avoir suffisamment de place à la maison pour les entreposer ?
Trouver des recettes pour les cuisiner ?

Mais non, vous n’y pensez pas, le plus dur c’est de coller les cosses de cacahuètes sur le potiron « galeux d’Eysines » pour qu’il ait de la gueule !

10 réflexions au sujet de “Dur dur la culture du potiron !”

  1. Bon dieu !! T’as dû en faire des voyages avec la Clio pour ramener tout ça à la maison ! ? :blink:
    Il a un peu une gueule de lépreux le potiron à Rachid !!! :smile:

  2. Waahoo ! y’a du butin , comme on disait à l’époque .
    Mais je trouve que ça manque un peu de couleurs: des oranges , des jaunes éclatants, des verts pétants, voir des violets soyeux…..
    En fait, pour ces couleurs il faut aller chercher du coté des coloquintes …. mais alors y a plus rien dans l’assiette.

  3. Oh si, il existe de bien beaux potirons colorés (potimarrons, rouge vif d’Etampes …) mais je n’en mets pas car lorsque des passants volent des potirons en plein champ c’est toujours les très beaux colorés. Alors je mets des variétés plus discrètes à la couleur peu apétissante.

  4. Tu peux toujours les peindre ! :silly:
    Je me disais aussi, avec tout ce jardin, c’était bien étonnant que personne ne succombe à la tentation d’emporter quelque chose…
    Ici, absent un week-end et je ne retrouverais plus rien… :sad:

  5. Si mes potes âgés se portent bien mes potes iront aussi! 😆😆😆😆

    Ok je sors lol!

  6. J’ai des musqués de provence verts. Sur le net , j’en vois de verts et des jaunes. Variétés différentes? Maturité différente? et dans ce cas, faut-il attendre qu’ils soient jaune pour les couper?

  7. La courge musquée de Provence, qui est sans doute ma variété préférée, est au départ de couleur vert-bouteille. A maturité elle prend une belle couleur bronze. C’est à ce stade qu’il faut la cueillir afin qu’elle soit meilleure et surtout qu’elle se conserve longtemps.
    Le problème avec la musquée de Provence c’est que son cycle de développement est long (d’où la nécessité de la semer en godets dès avril) et que certaines n’ont pas le temps d’arriver à maturité. Ce phénomène est accentué cette année car la météo froide et pluvieuse a retardé la formation et la fécondation des fleurs, d’où un retard accru. Plusieurs de mes amis jardiniers constatent aussi que cette année certaines n’auront pas le temps de mûrir.
    Il faut attendre le plus possible avant de les cueillir et ne le faire que tardivement (impérativement avant les gelées) pour augmenter les chances de mûrissement. En général, je récolte mes potirons dans la deuxième quinzaine d’octobre mais je surveille les prévisions météo, le gel n’étant pas exclu ici en Franche-Comté à cette époque.

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