Le Mondial, vous en pensez quoi ?
L’Ouette d’Egypte
C’est en me promenant la semaine dernière le long de l’Ognon à Bussières que je suis tombé nez à nez avec un couple d’Ouettes d’Egypte qui se baladait sur la rivière avec 7 poussins.
On connait l’histoire de cette espèce invasive. L’Ouette d’Egypte habite naturellement l’Afrique au Sud du Sahara, la vallée du Nil et la Palestine. Elle a été introduite au 19ème siècle dans des parcs zoologique dans le Sud-Est de l’Angleterre. Quelques ouettes échappées de captivité se sont reproduites dans la nature, ont gagné les Pays-Bas et c’est de là qu’est partie la colonisation en direction de la France. La Franche-Comté a été l’une des premières régions de France a accueillir cette espèce dont plusieurs couples nicheurs ont été notés dans la Vallée de l’Ognon (à Venise et à Chenevrey notamment). Je m’attendais à ce qu’elle se reproduise à Bussières car depuis l’an passé un couple vient presque tous les jours dans la pâture de mon frère et celui-ci a vu la parade nuptiale et l’accouplement ce printemps, tout près de sa maison.
Quelle attitude adopter vis-à-vis de cette espèce ? Bienvenue ou indésirable ? Vous en pensez quoi ?
Musiques pour guitare classique
S’il fallait que je dise qu’elle est mon instrument préféré, je répondrais sans la moindre hésitation : la guitare classique. J’aime le son de cet instrument : plein, rond, doux, coloré et chantant. C’est un instrument qui s’adapte à tous les répertoires, qu’ils soient contemporains ou très anciens (l’instrument n’existait pas encore à l’époque de Bach mais on joue souvent ses oeuvres à la guitare alors qu’elles avaient été composées pour le luth).
Je vous propose un petit week-end musical autour de cet instrument, avec des oeuvres pour la plupart très connues.
On commence avec le célèbre Asturias d’Isaac Albeniz (1860-1909) joué par Sharon Isbin.
Viennent ensuite
Le Moyen-duc
Le hibou moyen-duc se reproduit régulièrement autour de la maison. En 2002, le nid était très haut dans les arbres et je n’avais fait aucune photo (c’était d’ailleurs l’époque où j’avais arrêté momentanément la photographie, me demandant alors si j’allais passer au numérique). Depuis, j’entends de temps en temps les adultes et je sais qu’ils nichent sur le secteur. La semaine dernière, c’est dans le petit village de Oiselay, grâce à François et Joëlle qui m’ont fait savoir qu’il y avait des jeunes moyens-ducs dans les sapins près de leur maison, que j’ai pu enfin réaliser quelques images.
Il y avait deux jeunes qui
Accordons-nous ensemble sur la tarentelle
Un article proposé par Léa
Ceux qui ont aprécié mon dernier petit « dimanche musical » qui parlait de l’Ensemble Arpeggiata, auront peut-être remarqué la participation régulière de deux artistes : Pino de Vittorio et Marco Beasley.
C’est de ces deux artistes que j’aimerais vous parler aujourd’hui. Ou plutôt d’un groupe qu’ils ont fondé, en compagnie d’autre musiciens (Guido Morini, par exemple, qui est harpiste, organiste et claveciniste ainsi qu’auteur-compositeur).
Bref, encore du beau monde, quoi ! ![]()
Ce groupe, c’est l’Ensemble Accordone.
Quelques liens pour en savoir plus :
Pino de Vittorio
Marco Beasley
L’Ensemble Accordone
Une discussion très intéressante, dans une librairie parisienne, avec Marco Beasley et Guido Morini, car non contents d’être des artistes incroyables, ils sont également des érudits qui aiment partager.
J’ai trouvé cette discussion très très intéressante et aussi très abordable (si j’aprécie la musique baroque, je n’y connais vraiment pas grand chose). La question de la musique ancienne est aussi abordée. Ses instruments, ses rythmes, comment on la joue, la façon dont les musiciens tiennent compte des autres dans le groupe….
Egalement, une explication sur les tarentelles, leur origine, leur histoire…
J’ai choisi de vous faire découvrir quelques morceaux d’un même concert. Un travail du groupe autour de la tarentelle.
Pour ma part, j’ai trouvé ce spectacle fascinant. Mêlant musique, combats de chants, un peu de théâtre… C’est très beau. Ils sont vraiment habités.
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Voici donc quelques extraits :
Danse autour d’un pyracantha
Appelé aussi « buisson ardent » (nom d’origine biblique), le pyracantha est originaire d’Europe méridionale et d’Asie. Il est utilisé dans nos jardins à titre décoratif en raison de sa floraison abondante, de ses baies lumineuses et de son feuillage persistant.
Copé collé Copé coupez !
Pas vraiment d’idée pour le petit dimanche musical de ce blog. Pas vraiment le coeur à ça d’ailleurs. Et comme un peu d’humour n’a jamais fait de mal sur ce blog je vous propose une petite ritournelles écrite à l’instant à la hâte. Il ne vous reste qu’à fredonner tout ça sur un petit air de votre composition. Amusez-vous en famille à chanter ça par coeur et sans vous tromper ! Après trois ou quatre apéros, ça devrait être pas mal …
Copé collé
Copé cogné
Copé rogné
Copé stoppé
Copé frotté
Copé crotté
Coppé croqué
Copé moqué
Copé boxé
Copé sonné
Copé tombé
Copé plombé
Copé saucé
Copé fauté
Copé roulé
Copé COUPEZ !!!!!!!!!!!!!
Bon week-end à tous !
Et si nous vivions ailleurs ?
Un article proposé par Le Fou du Roy
JÉHAN PARLE (1)
Ah ! Ailleurs, il y fait tellement plus beau, la vie tellement plus facile, l’herbe bien plus verte et plus tendre, l’air qu’on respire, plus pur et les filles bien plus belles et plus gentilles….Vous voulez des exemples ?
D’accord alors, allons -y ! Au Brésil, à Rio de Janeiro, le sable est plus fin, plus blanc, plus doux. La mer chaude et accueillante. Pas besoin d’aller très loin pour boire un bon jus de noix de coco et, de plus, quand la nuit tombe, nul besoin de rentrer au chaud dans un trois pièces avec cuisine, chauffé au mazout, où le frigidaire déborde de victuailles…
Oui mais, me direz-vous: Là-bas, le salaire est
Prédation
Vous êtes en train d’admirer les abeilles qui viennent butiner vos fleurs …
… quand tout à coup PAF deux pinces surgissent !
C’est quoi votre première réaction face à l’araignée qui capture l’abeille, l’épervier qui rattrape la mésange ou le lynx qui croque le chevreuil ? « Hou la sale bête » ? « Wouah quelle belle scène ! », « Mal nécessaire » ? …
Jimi Hendrix à Monterey
En 1967, le festival de Monterey fut le premier grand festival pop. Il précéda ceux de Woodstock (1969) et de l’île de Wight (1970). Ce festival fut le moment de la consécration pour Jimi Hendrix. Il n’était jusque-là qu’un musicien culte dans certains cercles rock mais restait plutôt inconnu du grand public. Le 18 juin 1967, Hendrix arrivait donc sur scène pour un concert historique.
Voici dans l’ordre les 9 morceaux qui furent joués ce soir-là :
Killing Floor
https://www.youtube.com/watch?v=DLGctGhAWU4
Foxy
Un champ de seaux !
Il y a deux raisons majeures à mettre ses plants de légumes en pleine terre de très bonne heure.
La première tient au fait de pouvoir consommer des légumes très tôt. Lorsque l’on a, comme certains d’entre nous, le projet de consommer toute l’année des légumes de son propre jardin (ce qui n’est pas simple à réaliser), on attache une importance particulière à l’échelonnement des semis et des plantations. On sème le plus tôt possible les premières graines et on sème aussi le plus tard possible les dernières. Le gain n’est pas négligeable : on peut ainsi consommer des tomates pendant 5 mois (dès les premiers jours de juin et jusqu’aux gelées), soit près du double de la période habituelle.
La deuxième raison tient au fait que les légumes plantés très tôt sont forcément élevés « à la dure » (car ils doivent affronter des périodes de froid difficile), qu’ils sont ainsi endurcis naturellement et qu’ils donneront des plants plus résistants. Et comme cela a été dit récemment sur ce blog, on n’insistera jamais assez sur le fait que les plants mis de bonne heure en pleine terre s’installent profondément en terre et que leur système racinaire se développe fortement pendant tout le début du printemps, y compris pendant les périodes de mauvais temps. Car lorsque toute croissance semble arrêtée en surface, notamment par températures trop faibles, la plante continue son installation souterraine. Et lorsque le beau temps revient, la plante va pouvoir s’appuyer fortement sur sa partie souterraine pour se développer à la vitesse grand V. C’est ainsi que les choux qui ont été plantés de bonne heure cette année (dès la fin mars) sont déjà consommables alors que ceux plantés en mai ont du mal à se développer.
A ces deux raisons, il faut
« Root africaine »
Celles et ceux qui s’intéressent au jazz se rappellent qu’il y a près de vingt ans, sortait un magnifique album « carnet de routes » enregistré par trois grands musiciens français : Aldo Romano, Louis Sclavis et Henri Texier. L’enregistrement de ce disque a été réalisé à la suite de deux tournées en Afrique, l’une en 1990 en Afrique centrale, l’autre en 1993 en Afrique de l’Ouest. Cette tournée fut fantastique et marqua les musiciens « à vie ». Un deuxième disque, « Carnet de routes : suite africaine » est paru quelques années plus tard en 1999. Chacun de ces disques est accompagné d’un magnifique livret de photos noir et blanc réalisées par un très grand photographe : Guy Le Querrec.
En faisant une recherche sur youtube, je me suis rendu compte qu’il y a quelques années (en 2011), ces trois musiciens ont donné un concert au festival de jazz de Porquerolles, concert reprenant une partie des morceaux des deux disques.
Dans ce premier extrait, le magnifique thème Annobon, l’un des morceaux phares du premier Carnet de routes.
https://www.youtube.com/watch?v=GGZ-qB4YbAE
Puis trois autres extraits de ce
La vie, c’est quoi ?
A propos de Gabriel García Márquez, disparu le 17 avril dernier, cette petite phrase issue de son roman « Vivre pour la raconter » (2002) :
« La vie n’est pas ce que l’on a vécu mais ce dont on se souvient et comment on s’en souvient ».
Alors, ça vous inspire cette phrase ?
Le petit gravelot (1)
Voyage en « Arpeggiata »
Un article proposé par Léa
Dernièrement, en regardant un film « Tous les Soleils », j’ai découvert un ensemble musical fondé par Christina Pluhar, l’Ensemble Arpeggiata.
Pour faire court, Christina Pluhar est une musicienne spécialiste de la musique baroque. Elle joue de la harpe, du luth et du théorbe.
Deux liens pour en apprendre plus sur cet ensemble, les musiciens et chanteurs qui le composent : 1 et 2.
Pour le plaisir de vos oreilles, je vous ai sélectionné quelques morceaux parmi mes préférés:
Silenzio d’amore de la BO du film « Tous les Soleils » :
https://www.youtube.com/watch?v=Qp_G32DmmNA
La carpinese, du
Au resto Milanos (1)
Quand on est invité chez Jacqueline et Jéhan dans le petit village de Commugny en Suisse, on en repart avec le ventre un peu rebondi. Le lendemain matin, la balance accuse le coup. Les milans noirs savent aussi que la table y est excellente et ils ont pris l’habitude, pour la quatrième année consécutive, de venir s’y rassasier tous les jours de la belle saison (du 21 mars au 15 août, car le milan noir hiverne en Afrique).
Le 26 avril dernier, Joëlle, Michel et moi sommes donc allés admirer le spectacle. Et le spectacle vaut le coup !
Mais situons d’abord le décor. Nous sommes dans une zone pavillonnaire et la scène est située sur une petite place de gazon.
Gaïa, Sucrine et Réglisse
J’avais promis pour la rentrée un article sur « le restaurant aux milans » mais il n’est pas encore prêt (l’article car le restaurant, lui, est toujours ouvert) et je n’ai pas encore trié toutes mes photos. Alors, en attendant, je vous présente trois vaches de la race Highland Cattle dont je vous avais déjà parlé il y a quelques années et qui ont bien grandi depuis.
Pour les rencontrer, il faut aller à








