En matière de jardinage, j’adore mener des expérimentations. Elles réussissent ou elles ne réussissent pas. Et comme je le disais il y a deux jours à Luc au téléphone, peu importe finalement, il y a pour moi la même satisfaction à voir ces expérimentations réussir ou échouer.
Cela dit, ce n’est pas tout à fait vrai, car c’est avec un vrai plaisir que j’ai pu goûter il y a tout juste deux jours le fruit de ma dernière expérimentation. En effet, j’avais semé au printemps dernier une tomate particulière qui s’appelle MADAGASCAR. Cette tomate est assez petite, elle fait partie des tomates cocktails, c’est à dire de la taille au-dessus des tomates cerise (environ 40 g). Elle vient du catalogue Baumaux (ma référence habituelle en matière de biodiversité, n’en déplaise aux kokopelliphiles) et elle est réputée pour se conserver jusqu’à Noël pour peu qu’on la conserve au grenier avec la tige.
L’automne ayant été exceptionnel, j’ai cueilli une dernière petite cagette de tomates Madagascar le 22 novembre dernier (voir la dernière photo de cet article) et je les ai simplement conservées au sous-sol. Je les ai surveillées de temps en temps et j’ai éliminé environ 1/4 des tomates qui se sont abîmées. Et quand j’ai vu qu’elles se conservaient effectivement jusqu’à Noël, je me suis dit « pourquoi pas jusqu’au nouvel an ?« . Et c’est ainsi que nous avons mangé samedi une belle salade de tomates. Et j’ai été très agréablement surpris par le goût. Un peu d’acidité certes mais un très bon goût.
Tout ça pour dire que je peux envoyer des graines de cette variété aux jardiniers habitués de ce blog.
Il s’agit de coffrets comme je 










