Jardinage : vive la diversité des approches !

Attention, article polémique !

J’aime bien les discussions sur le jardinage qui ont lieu sur ce blog. Aucun des blogueurs n’y a d’idée définitivement arrêtée. Chacun d’entre nous sait que le jardinage est un long apprentissage, une perpétuelle remise en question, qu’il n’y a pas de recettes toutes faites, et que l’on tâtonne souvent avant de trouver une méthode que l’on testera d’abord puis adoptera peut-être … ou peut-être pas. Le jardinier est une personne humble par définition car il apprend très vite qu’on n’impose rien à la nature et qu’on ne peut, au mieux, que composer avec elle. Si le jardinier était plein de certitudes toutes faites, la nature aurait vite fait de lui rabattre son caquet. Et c’est bien ainsi. Savoir qu’au bout d’une vie entière de jardinage on ne connaît même pas le dixième de ce qu’il faudrait savoir est plutôt rassurant.

Mais ce qui a cours sur ce blog ne prévaut pas forcément ailleurs.

Aujourd’hui, il faut appartenir à une école.
Il y a l’école de ceux qui prônent le non-travail de la terre, l’école de ceux qui ne jurent que par les purins et décoctions, d’autres que par le compostage, d’autres que par la rotation des cultures,  d’autres que par la technique du jardinage en carrés, d’autres que par la technique du jardinage « en lasagne » …

TOUT CELA M’EMMERDE ET JE LE DIS HAUT ET FORT !

Tous ceux qui jardinent vraiment savent qu’une technique valable ici ne l’est plus ailleurs, qu’il faut tenir compte de sa terre, de son climat, du temps disponible dont on dispose et de bien d’autres choses encore.

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Quelques exemples (mais je pourrais en prendre plein d’autres) :

Premier exemple : il m’arrive 

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Foutre le bordel en classe !!!!!!!!!!!!!

En trente ans de carrière dans l’éducation à l’environnement, j’en ai côtoyé des instits !
Et j’ai pu mesurer l’importance de leur métier. Et ce métier est celui pour lequel j’ai le plus de respect au monde (… après celui de brasseur de bière, évidemment !).

Je n’ai pas eu que des instits, évidemment. Plus tard, j’ai eu des profs : au collège, au lycée, à l’université. Mais ce n’était pas tout à fait pareil. Car un instit, c’est un instit !

Ce beau métier, je l’ai vu aussi progressivement se dégrader. Car l’enseignant assume aujourd’hui toutes les contradictions de notre société et c’est à l’école que viennent se refléter toutes les difficultés du monde « moderne » : la séparation familiale, la pauvreté, la violence, le manque d’intégration, la discrimination, le désengagement des parents, le manque de moyens … Ce qui fait que la position d’enseignant est aujourd’hui très difficile, quelque soit l’angle sous lequel on regarde la chose.

Avant, il fallait gérer les gamins. Et l’instit y arrivait plutôt bien, muni non seulement de méthodes pédagogiques simples (souvent basées sur le bon sens) mais aussi et surtout de sa foi. Car ce métier est un véritable sacerdoce. Mais aujourd’hui, il faut se taper en plus les parents, leurs problèmes et leurs conséquences sur les enfants, la hiérarchie, les tracasseries administratives, le maire du village et tout le bataclan. Et notre société ne fait plus corps avec le monde enseignant. Cela a changé considérablement la donne …

Je vous engage, avant de continuer à lire mes propos, à lire un autre article, déjà ancien, de Rue89 qui en dit long, très long même (cliquer ici pour avoir accès à cet article).

Je venais de lire cet article de Rue89 il y a un an quand Joëlle a reçu par erreur sur son portable un SMS d’un collégien qui, visiblement, s’était trompé de numéro de destinataire. Je vous livre le texte, tel quel :

« La semaine prochaine sa sera la semaine des profs!!!On va leur foutre la mizère!!!
– lundi : a la fin de chaque cours, on applaudi le prof
– mardi : a toutes les questions, on répon hors-sujet
– mercredi : tout le monde fout le bordel en cours
– jeudi : tout le monde « oubli » sa trousse et demande un stilo
– vendredi : aux récré et à la cantine, on danse la macarena
Envoie ce message à tout les collégiens que tu connais. »

Imaginez-vous être prof (ou instit) dans un tel contexte ?

« France, ressaisis-toi ! »

Je n’ai jamais mis de lien pour une pétition sur ce blog. Pour la simple et bonne raison que nous sommes ici avant tout sur un lieu de discussion et que ce blog n’a pas à être « ma » tribune politique. Mais je crois qu’il est des cas de force majeure et que la dérive à laquelle nous assistons actuellement est très grave. Et si j’en juge par les réactions sur ce blog aux insultes proférées à l’encontre de Christiane Taubira (voir la fin de la discussion sur l’article « patriotisme, nationalisme et identité nationale« ), je crois que bon nombre d’entre vous partagent aussi cette indignation. Les discours de haine se généralisent dans le pays et le silence de la plupart de nos concitoyens et de nos médias sur le sujet commence à devenir très pesant et très significatif. Alors, une fois n’est pas coutume sur ce blog, voici le texte d’une pétition qui est à l’initiative d’un élu de Brétigny-sur-Orge et qui est soutenue par un certain nombre de personnalités (dont Jeanne Moreau, Jane Birkin, Hugues Aufray, Serge Moati …). Le lien pour la pétition est en fin d’article.

« C’est pour qui la banane ? C’est pour la guenon ». C’est par ces mots qu’une fillette de 12 ans a brandi il y a quelques jours à Angers une peau de banane à l’endroit de Christiane Taubira. Après la comparaison simiesque dont notre Ministre de la Justice fut la cible quelques jours plus tôt par une candidate du Front national, ce sont des mots qui ne peuvent être tenus pour des « dérapages » comme la presse les qualifie avec une pudeur de violette. Ils sont tout au contraire le signe qu’une gangrène purulente est en train, sous nos yeux, d’infecter le pacte républicain. Le mal semble tellement avancé que ce sont donc des parents qui, le temps d’une manifestation, montrent avec fierté à quel point leur fille a été élevée dans la haine. Le mal semble tellement avancé que c’est avec stupéfaction que nous constatâmes la quasi-absence de réactions face à des propos aussi violents qu’intolérables. Le mal semble tellement avancé que toutes les excuses sont trouvées aux expressions de racisme tandis que la lutte contre ce fléau est disséquée, vilipendée, critiquée, moquée. En dépit – ou en raison – de ce contexte, nous tenons à réaffirmer les valeurs de notre République, les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité. Nous tenons également à réaffirmer notre attachement à ce que notre pays, ses habitants et son histoire ne soient pas insultés ainsi quotidiennement par des dealers de haine. Car ces propos sont autant d’insultes aux anciens combattants de toutes origines qui se sont battus pour que nous puissions vivre ensemble face à l’obscurantisme. Autant d’insultes aux grands Hommes qui ont contribué à la richesse et au rayonnement de la France. Il n’est qu’à penser, pour n’en citer que quelques-uns, à Alexandre Dumas, Raymond Kopa, Marie Curie, Yves Montand, Aimé Césaire, Samuel Beckett, Joséphine Beker, Léon Blum, Félix Eboué, Gaston Monnerville et plus récemment à Georges Charpak, Haroun Tazieff, Yannick Noah, Charles Aznavour, Omar Sy, Jacques Martial ou Zinedine Zidane. Noirs, Arabes, Juifs, étrangers ou fils d’immigrés : ils sont tous une partie constituante de la Nation. Une Nation dans laquelle il devrait pouvoir être affirmé comme la dernière des banalités que « nous sommes tous la France ». Cet appel est un appel républicain, car loin des querelles partisanes, chaque personne, soucieuse de la beauté et de l’avenir de notre pays, doit dire que le racisme, la xénophobie, le harcèlement et plus généralement la haine de l’Autre sont des fléaux qui mettent à mal notre socle commun. C’est donc le devoir de chaque citoyen de participer à un sursaut afin d’arrêter de trouver chez l’Autre la justification de nos fantasmes mauvais et de nos maux du moment. Signataires de cet appel, c’est par amour de notre pays que nous affirmons les positions suivantes : Nous refusons cette société qui se replie sur elle même ! Nous refusons la normalisation de la parole raciste ! Nous refusons l’instrumentalisation de nos valeurs à des fins politiques ! Nous demandons que toutes formes de racisme soient fortement condamnées ! Nous demandons que la haine ne mutile plus le corps de la liberté, l’âme de l’égalité et le cœur de la fraternité. Au nom de nos valeurs, c’est au contraire dans l’union des citoyens que nous devons construire notre pays, préparer son avenir et retrouver la fierté d’une Nation qui ne saurait se nicher dans les ratiocinations, pas davantage que dans la glorification des mauvaises passions.

Le lien vers la pétition.

Météo déjantée

IMGP2341Alors, les conditions météo de ce printemps, vous en pensez quoi ?
Allez, exprimez vous : tapez vous la tête contre les murs, hurlez, poussez des jurons, râlez sur ce blog …
Après ça ira mieux !
La parole est est vous …

Ile de beauté ou Ile de butés ?

En France,  le taux d’élucidation des homicides est de 94% (19 sur 20 !) dont 64% le jour même du crime.
Ce week-end a eu lieu en Corse le 20ème assassinat depuis le début de l’année 2012. Aucun n’a été élucidé à ce jour (0 sur 20 !).
La Corse possède pourtant un nombre de gendarmes par habitant deux fois supérieur à la moyenne nationale.
Cherchez l’erreur !

Emplois jeunes et emplois d’avenir

Je suis toujours estomaqué par la manière dont les journalistes nous disent les choses. Un chiffre peut être présenté de plusieurs manières différentes selon ce qu’on veut lui faire dire. Ainsi, Samuel Laurent, dans leMonde.fr nous parle des emplois d’avenir et revient sur le dispositif emplois-jeunes qui avait été mis en place en 1999.

Il nous dit ceci : « Mais ces emplois jeunes, qui devaient aider les  plus en difficulté, ont beaucoup bénéficié à de jeunes diplômés : près de 20% avaient fait plus de deux ans d’études après le bac. ». N’aurait-il pas été plus juste de dire, en commentant le même chiffre : « Ces emplois jeunes, qui devaient aider les plus en difficulté, ont rempli en grande partie leur objectif : seuls 20% d’entre eux avaient fait plus de deux ans d’études après le bac ». ça aurait été une manière plus honnête de présenter les choses, non ?

J’ai la chance de travailler dans le milieu associatif et je sais que les emplois-jeunes ont permis un développement économique des associations et l’embauche d’un grand nombre de personnes. Les 5 postes créés dans ma structure existent encore 12 ans après. Les statistiques au niveau national sont d’ailleurs assez parlantes : d’après la Dares, sur les 470 000 jeunes qui ont été embauchés, 75% avaient du travail à l’issue du dispositif, et 85% au bout de 18 mois dont 72% en CDI. C’est quand même pas mal, non ? Surtout quand on sait que lorsqu’on aide les entreprises privées (par des réductions de charges ou des aides à l’emploi), il s’agit assez souvent, pour les entreprises, de profiter d’un système avant de jeter les gens à la rue et de recommencer avec de nouvelles aides ou exonérations ! Et certaines entreprises qui ont bénéficié d’aides à l’emploi n’ont pas hésité ensuite à mettre en place des plans sociaux alors même qu’elles dégageaient des bénéfices. Donc, pour faire la morale, il faudra revenir … !

Il faut ajouter que ces emplois-jeunes, et d’une manière presque tous les emplois existant dans les associations, permettent de pallier les insuffisances de notre société dans des domaines tels que la santé, le social, la culture, l’environnement … Il y a beaucoup de misère dans notre société, il y en aurait infiniment plus sans les associations qui jouent le rôle de pare-feu.

Je ne sais pas ce que seront les emplois d’avenir annoncés par le gouvernement. Même si je ne peux qu’avoir un a priori favorable, je n’ai pas d’avis tranché sur la question car aujourd’hui peu d’employeurs, qu’il s’agissent d’entreprises ou d’associations, ont besoin de main d’oeuvre non formée. Je suis donc plutôt dans l’expectative (surtout quand on sait qu’aucun dispositif de formation ne vient accompagner le dispositif) !

Voila, j’avais juste envie de revenir un peu sur ces fameux emplois-jeunes trop décriés à mon goût.

Crime contre l’Humanité ?

Il n’y a pas de définition officielle de ce que l’on appelle « crime contre l’humanité ».
Mais à partir du moment où la définition n’existe pas et que tout se rediscute au cas par cas, ne pourrait-on pas envisager de qualifier de « crime contre l’humanité » la décision d’un laboratoire de mettre sur le marché un médicament qui entraînera des centaines – voire des milliers – de morts alors que ce même laboratoire en connaissait dès le départ tous les effets désastreux sur la santé ?
Vaste question … (à laquelle j’ai d’ailleurs tranché dans mon for intérieur, tant cette histoire me fait vomir) !

La fin des hurluBerlu’s conneries !

Janvier est le mois des voeux. Et, comme vous l’avez remarqué, les hommes politiques n’en sont pas avares lors des années électorales. Pour eux, les voeux c’est d’ailleurs comme les promesses électorales, sauf que ça engage encore moins. C’est pour dire ! Le voeu d’un homme politique n’est qu’un voeu pieu, c’est à dire une parole vaine qui me donne envie de vite retourner au pieu ! Et hop, j’y retourne dès cet article fini !  :smile: :silly: :sleeping:

Pour les médias, janvier est aussi le mois du rétroviseur. Car il est de bon ton, pour les journaux, les télés, de jeter un coup d’oeil en arrière (une dernière fois) et de commenter les évènements importants de l’année précédente.

Tradition oblige, le blogadupdup s’y met aussi.

Petit retour donc sur l’actualité du mois d’octobre, marquée entre autres par la démission du chef du gouvernement italien.
Evidemment, on peut se réjouir du départ de Berlusconi du pouvoir.
Un guignol en moins ! Et de surcroît un malade du sexe (décidément c’est courant dans le monde politique) qui prétendait pouvoir diriger un pays alors qu’il n’est même pas capable de maîtriser ses pulsions de vieux libidineux !
A priori, je pourrais – comme sans doute chacun d’entre vous – me réjouir de son départ.
Sauf que, sauf que …
Car il y a là un fait nouveau, terriblement nouveau : pour la première fois, ce sont les Marchés qui ont décidé du départ d’un dirigeant d’Etat !
Et c’est sans doute la seule chose vraiment intéressante sur laquelle les médias auraient dû s’appesantir !
Quand viendra le temps de chasser tous les guignols qui sont au service du capitalisme financier (et Dieu sait si dans notre pays on n’est pas en reste, suivez mon regard), j’espère que ce ne seront pas les financiers eux-mêmes qui décideront de changer de valets, mais que nous changerons de dirigeants PAR LA SEULE VOIX DU PEUPLE !
Et que cela ne soit pas un simple voeu pieu !

Prise de dette !

Aggravation de la dette = plan de rigueur
Plan de rigueur = diminution du pouvoir d’achat
Diminution du pouvoir d’achat = moins de rentrées fiscales
Moins de rentrées fiscales = nouvelle aggravation de la dette
Nouvelle aggravation de la dette = plan de rigueur n°2
Plan de rigueur n°2 = nouvelle diminution du pouvoir d’achat
Nouvelle diminution du pouvoir d’achat = encore moins de rentrées fiscales
Encore moins de rentrées fiscales = nouvelle nouvelle aggravation de la dette
Nouvelle nouvelle aggravation de la dette = plan de rigueur n°3
Plan de rigueur n°3 = nouvelle nouvelle diminution du pouvoir d’achat
Nouvelle nouvelle diminution du pouvoir d’achat = encore encore moins de rentrées fiscales
Encore encore moins de rentrées fiscales = nouvelle nouvelle nouvelle aggravation de la dette
Nouvelle nouvelle nouvelle aggravation de la dette = plan de rigueur n°4
etc …

Pffh, c’est fatigant !
Et puis tellement prévisible.
La suite je vous laisse l’écrire.
Jusqu’au bout.
Jusqu’au trou.

Les normes ? De la foutaise !

D’après la dernière étude publiée par l’OMS, 2 millions de personnes meurent chaque année dans le monde de maladies dues à la pollution atmosphérique. En outre, indique l’OMS, 1,1 million de décès auraient pu être évités si les normes avaient été respectées.
Cela veut dire que si on respectait « à la lettre » les normes en matière de pollution atmosphérique, il en serait mort quand même 900 000. Comme quoi, les normes, c’est pas fait pour nous protéger !

Cécile et la géographie …

Cécile Duflot, la présidente des Verts, a déclaré le 17 mars dernier sur BFM TV que la France n’avait rien à craindre de la catastrophe nucléaire puisque le Japon se trouve dans l’hémisphère Sud. Et le Canard Enchaîné qui a rapporté ses propos de conclure : « Si elle est aussi forte en écologie qu’en géographie… ». Effectivement !

Liberté bafouée (4)

Le 21 janvier dernier, Max Roustan, président UMP de la communauté d’agglomération d’Anduze avait prévu de présenter ses voeux à bord du petit train vapeur qui relie Anduze à Alès. Mais sept villages proches d’Anduze s’opposent à leur annexation à la communauté d’agglomération. Le petit voyage en train était une occasion rêvée pour eux de manifester leur mécontentement. Ils étaient donc là, maires avec leurs écharpes tricolores, hommes, femmes, personnes âgées, installés sur la voie avec juste comme objectif de retarder le train. Une manière de manifester donc plutôt rigolarde et « bon enfant » comme cela se pratique souvent.

L’un des maires avait prévenu le gendarme Warion que le but n’était pas d’empêcher le train de partir mais juste de le retarder, et qu’il suffisait à ce chef d’escadron de venir lui dire de dégager la voie quand il jugerait que cela suffisait. Mais voilà, Warion était muni de gaz lacrymogène … La suite, vous la connaissez sans doute si vous lisez le Canard Enchaîné.

Il se trouve que quelqu’un a pu filmer la scène. Une honte !

Cherchez l’erreur …

Le prix du coton représente 1% de la valeur finale d’un vêtement.
Donc si le coton augmente de 50%, comme on nous l’a dit les derniers temps, le prix de vente d’un habit ne devrait augmenter que de 0,5%.
Or, le prix des vêtements augmentera de 10%.
Cherchez l’erreur … !

Une lettre à TF1, « pas piquée des vers » !

Je ne regarde jamais la télé (pas plus d’une fois par an, et encore … les années où elle n’est pas en panne). Je n’ai jamais regardé une seule fois de ma vie TF1. Par principe. « Par principe républicain » si j’ose dire. Mais il m’arrive, en allant chez mes parents, de voir quelques bribes d’émissions. Et le peu que j’y vois est LA-MEN-TABLE ! Et j’ai souvent eu envie d’écrire quelques lignes sur le sujet. Alors, quand j’ai lu hier la lettre qu’Arnaud Montebourg venait d’envoyer à Nonce Paolini, PDG de TF1 (une lettre très acide, « pas piquée des vers » comme on dit ici en Franche-Comté), je n’ai pas pu résister à l’envie de vous la faire connaître. Les trois pages (que vous pouvez découvrir en cliquant ici) valent le détour !