Ce blog se met en congés. Il reprendra le lundi 29 février.
Oui, je vous entends déjà médire très très fort : « Quoi, à peine retraité, il prend déjà des vacances ! ». Ben oui, et en plus, pour vous narguer, avec un verre de Gouden Carolus (ma dernière trouvaille, une véritable tuerie) à la main …
Pour ce dernier article avant ces (petites) vacances, j’aimerais parler des primaires américaines (même si ce n’est pas parmi les centres d’intérêts de la plupart des lecteurs de ce blog). Vous l’avez peut-être compris dans les commentaires des derniers jours, je suis avec beaucoup d’attention ce qui se passe actuellement aux Etats-Unis. On ne peut pas se désintéresser complètement du sujet car, qu’on le veuille ou non, la politique qui est menée là-bas, notamment en matière de politique étrangère, influe directement la nôtre. Quand les Etats-Unis, que l’on qualifie souvent de « gendarme du monde » décident de faire la guerre quelque part (et Dieu sait s’il y en a eu dans l’Histoire récente), les pays européens se mettent quasiment au garde-à-vous et partent eux aussi en guerre. Alors autant avoir un président le moins belliciste possible.
Alors qu’y a-t-il de nouveau dans ces élections américaines-là ? Il y a notamment, en plus de la candidature républicaine de Donald Trump (très atypique, on pourra en parler dans les commentaires), celle de Bernie Sanders du côté démocrate.
Personne ne misait sur lui il y a quelques
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