Hou la la, j’ai pas assuré sur ce coup-là !
J’avais comme projet de parler de la quarantaine de variétés de salades que j’ai cultivées cette année (dans le but de les tester) mais tout est allé trop vite. Je n’ai pas pris le temps de tout étiqueter ce que je semais, je n’ai pas non plus pris le temps de photographier les différentes variétés, de les goûter les unes séparément des autres, de noter sur papier leurs qualités respectives … En fait, mon projet était trop ambitieux et aurait mieux convenu à un retraité.
Il ne reste donc pas grand chose de mes expérimentations de cette année. Mais bon, je vais essayer de produire quelques écrits à partir du peu de données que j’ai amassées et je vais donc probablement produire trois ou quatre articles dans les semaines qui viennent.
Cet article pour rappeler que la première qualité que l’on demande aux salades d’été n’est pas forcément d’ordre gustatif mais concerne la capacité des différentes variétés à résister à ce que l’on appelle « la montaison » et qui rend les salades impropres à la consommation (trop d’amertume).
A cet égard, voici trois variétés qui sont toutes excellentes d’un point de vue gustatif (et notamment la laitue truitée dont j’ai déjà parlé sur ce blog) mais qui ne supportent pas la chaleur de l’été, comme en témoignent les trois photos ci-dessous. Successivement batavia gloire du dauphiné, laitue reine de mai de pleine terre et laitue truitée (appelée aussi forellenschluss):
Réserver donc ces salades pour des cultures de début de printemps ou même d’automne. Leur préférer pour l’été d’autres variétés dont je parlerai bientôt dans un prochain article.